S. Diop est une drôle de femme. Après le décès de son mari, ses enfants et elle ont hérité de la somme 10 000 000 f cfa. Elle confie cette rondelette somme à son amant Ibrahima Diop qui prétend l'avoir déposée dans son compte bancaire.
Quelques temps après, elle a besoin d'un peu d'argent. Son amant lui fait un chèque. Elle se présente à la banque toute heureuse mais à sa grande surprise, le chèque est sans provisions.C'est à partir de cet instant, qu'elle commence à douter de la bonne foi de son amant. Elle demande à ce dernier de lui rembourser l'intégralité de la somme qu'elle lui avait confié. Malheureusement le pauvre "Roméo" avait dépensé l'argent à des fins personnelles.
Il avait investi une partie importante de la somme dans son activité professionnelle qui battait de l'aile.La dame S. Diop se remariera avec un autre homme. L'amant se mit dans une colère noire. Il appela son ex pour l'abreuver d'insultes. Finalement elle porta plainte contre Ibrahima Diop. Attrait à la barre du tribunal pour abus de confiance, Ibrahima Diop a reconnu les faits. Mais il reconnait ne devoir à son ex.amante que la somme de 3 500 000 f cfa. Il déclare avoir régulièrement versé à S. Diop des sommes d'argent.
Le procureur considère que les faits sont très graves car le prévenu a hypothéqué l'avenir des héritiers et a par la même occasion plongé cette pauvre famille dans la précarité. Compte tenu de toutes ces considérations, il a requis que le prévenu soit maintenu dans les liens de la prévention et de le condamner à 6 mois de prison ferme.
L'avocat de la défense ne nie pas l'évidence. Par contre, ce qu'il ne peut pas comprendre, c'est comment peut-on confier une somme pareille à son amant alors qu'elle pouvait la déposer à la banque ou la confier à un proche parent.Il déclare que son client est prêt à rembourser. Pour prouver sa bonne foi, L'avocat avait par devers lui la somme de 500 000 f cfa afin de la remettre à la partie civile. Mais cette dernière n'a pas comparu.
Le tribunal a reconnu le prévenu coupable et l'a condamné à 1 mois de prison ferme. Le tribunal réserve les intérêts de la partie civile.
Quelques temps après, elle a besoin d'un peu d'argent. Son amant lui fait un chèque. Elle se présente à la banque toute heureuse mais à sa grande surprise, le chèque est sans provisions.C'est à partir de cet instant, qu'elle commence à douter de la bonne foi de son amant. Elle demande à ce dernier de lui rembourser l'intégralité de la somme qu'elle lui avait confié. Malheureusement le pauvre "Roméo" avait dépensé l'argent à des fins personnelles.
Il avait investi une partie importante de la somme dans son activité professionnelle qui battait de l'aile.La dame S. Diop se remariera avec un autre homme. L'amant se mit dans une colère noire. Il appela son ex pour l'abreuver d'insultes. Finalement elle porta plainte contre Ibrahima Diop. Attrait à la barre du tribunal pour abus de confiance, Ibrahima Diop a reconnu les faits. Mais il reconnait ne devoir à son ex.amante que la somme de 3 500 000 f cfa. Il déclare avoir régulièrement versé à S. Diop des sommes d'argent.
Le procureur considère que les faits sont très graves car le prévenu a hypothéqué l'avenir des héritiers et a par la même occasion plongé cette pauvre famille dans la précarité. Compte tenu de toutes ces considérations, il a requis que le prévenu soit maintenu dans les liens de la prévention et de le condamner à 6 mois de prison ferme.
L'avocat de la défense ne nie pas l'évidence. Par contre, ce qu'il ne peut pas comprendre, c'est comment peut-on confier une somme pareille à son amant alors qu'elle pouvait la déposer à la banque ou la confier à un proche parent.Il déclare que son client est prêt à rembourser. Pour prouver sa bonne foi, L'avocat avait par devers lui la somme de 500 000 f cfa afin de la remettre à la partie civile. Mais cette dernière n'a pas comparu.
Le tribunal a reconnu le prévenu coupable et l'a condamné à 1 mois de prison ferme. Le tribunal réserve les intérêts de la partie civile.