Comme annoncé par dakarposte, le nouvel album du chouchou de la musique Sénégalaise, Waly Ballago Seck fait un tabac. Depuis sa sortie le 11 décembre dernier, l'opus SYMPHONIE rencontre un franc succès auprès du public.
Parmi les 12 titres, il y'a le morceau " Ndiouga Dieng", dans lequel Waly est en duo avec l'un des fils de l'Artiste disparu ( feu Ndiouga Dieng). Les deux monuments (Waly et Momo Dieng) chantent haut, fort et juste, rivalisant diplomatiquement d’habileté et de délicatesse dans le placement des inflexions de leurs voix entre des mouvements rythmiques parfaitement dominés. Un vrai "nectar" ce morceau surtout avec ce petit tour de passe-passe allusion faite à cette inattendue intrusion de Tumbas sur la deuxième partie du titre dédié à feu Elhaj Ndiouga Dieng. Il s'agit de cette dernière partie de la chanson. Les tumbas superbement joués ont été le coup de théâtre de ce "nectar" avant son happy end.
A vrai dire, dans ce morceau, les deux ténors accèdent aux cimes de la perfection, prouvant du coup , sans forcément le chercher leur professionnalisme en termes vocal. On sent qu'ils ont beaucoup travaillé sur ce morceau. Bref, Waly et Momo ont démontré qu'ils ont comme dénominateur commun: un brin de génie pour chanter ensemble d’une seule voix et avec une adresse dont personne ne trouvera à redire.
En somme, cet album est aussi, pourquoi ne pas le dire, un chef d’œuvre de maîtrise en termes d’arrangements.
Chapeau bas !
Parmi les 12 titres, il y'a le morceau " Ndiouga Dieng", dans lequel Waly est en duo avec l'un des fils de l'Artiste disparu ( feu Ndiouga Dieng). Les deux monuments (Waly et Momo Dieng) chantent haut, fort et juste, rivalisant diplomatiquement d’habileté et de délicatesse dans le placement des inflexions de leurs voix entre des mouvements rythmiques parfaitement dominés. Un vrai "nectar" ce morceau surtout avec ce petit tour de passe-passe allusion faite à cette inattendue intrusion de Tumbas sur la deuxième partie du titre dédié à feu Elhaj Ndiouga Dieng. Il s'agit de cette dernière partie de la chanson. Les tumbas superbement joués ont été le coup de théâtre de ce "nectar" avant son happy end.
A vrai dire, dans ce morceau, les deux ténors accèdent aux cimes de la perfection, prouvant du coup , sans forcément le chercher leur professionnalisme en termes vocal. On sent qu'ils ont beaucoup travaillé sur ce morceau. Bref, Waly et Momo ont démontré qu'ils ont comme dénominateur commun: un brin de génie pour chanter ensemble d’une seule voix et avec une adresse dont personne ne trouvera à redire.
En somme, cet album est aussi, pourquoi ne pas le dire, un chef d’œuvre de maîtrise en termes d’arrangements.
Chapeau bas !