Libération qui donne l'info indique qu'il a fallu plusieurs mois de filatures, de commissions rogatoires, entre autres, à la brigade spécialisée italienne pour frapper au cœur d'une mafia sénégalaise qui avait étendu ses tentacules jusqu'en Chine. Ce n'est qu'hier matin que l'opération, baptisée "Easy Brand", a été bouclée avec à la clé 40 perquisitions et 16 arrestations.
Le journal de préciser que parmi les personnes arrêtées, il y a un Sénégalais surnommé " Jules" et qui se trouve être à la tête du réseau. Ce dernier présenté comme un "Capo" est tombé en même temps que ses lieutenants M. Lô, né le 02 février 1959, El Hadj M. G., né le 04 janvier 1971, M. S., né le 19 octobre 1980 et Samba Nd., originaire de la localité de Touba.
Les sources du journal renseignent que deux ressortissants indiens et un ukrainien ont été arrêtés en même temps que les Sénégalais. Visé pour blanchiment de capitaux, fraude, contrefaçon, association de malfaiteurs, crime en bande organisée..., le réseau avait réussi, selon nos confrères, à amasser un butin de guerre pour le moins conséquent : trois villas de luxe, sept véhicules, dix huit unités industrielles servant à fabriquer de la contre façon et une pizzeria qui servait à laver l'argent sale. Ces biens ont été saisis en même temps que la rondelette somme de deux millions d'euros (1,2 milliards de FCfa) retrouvés lors des différentes perquisitions.
Les sources du journal font savoir que la Brigade financière italienne, qui a sollicité la coopération d'Interpol, compte étendre l'enquête au Sénégal où une partie des montants a pu être blanchie.
Le journal de préciser que parmi les personnes arrêtées, il y a un Sénégalais surnommé " Jules" et qui se trouve être à la tête du réseau. Ce dernier présenté comme un "Capo" est tombé en même temps que ses lieutenants M. Lô, né le 02 février 1959, El Hadj M. G., né le 04 janvier 1971, M. S., né le 19 octobre 1980 et Samba Nd., originaire de la localité de Touba.
Les sources du journal renseignent que deux ressortissants indiens et un ukrainien ont été arrêtés en même temps que les Sénégalais. Visé pour blanchiment de capitaux, fraude, contrefaçon, association de malfaiteurs, crime en bande organisée..., le réseau avait réussi, selon nos confrères, à amasser un butin de guerre pour le moins conséquent : trois villas de luxe, sept véhicules, dix huit unités industrielles servant à fabriquer de la contre façon et une pizzeria qui servait à laver l'argent sale. Ces biens ont été saisis en même temps que la rondelette somme de deux millions d'euros (1,2 milliards de FCfa) retrouvés lors des différentes perquisitions.
Les sources du journal font savoir que la Brigade financière italienne, qui a sollicité la coopération d'Interpol, compte étendre l'enquête au Sénégal où une partie des montants a pu être blanchie.