La Banque mondiale (BM) va collaborer au plan international pour aider les nouvelles autorités à récupérer les biens mal acquis, et placés à l’étranger. L’information avait été donnée par le conseil spécial Elhaj Kassé. Depuis lors, rien au soleil.
« Le rapatriement des biens acquis de facon illicite par des Sénégalais et placés à l’étranger ne posera aucun problème au pouvoir en place » disait Elhaj Kassé avant de renchérir : « il y a, au plan international, un mécanisme qui permet de procéder au rapatriement de ces biens » El Hadj Kassé répondait aux questions d’étudiants, précisément le mardi 6 juin 2012 à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar. C’était dans le cadre d’une émission spéciale que Radio France internationale (RFI) a organisée sur les attentes des populations vis-à-vis du nouveau pouvoir.
S’agissant des biens mal acquis, restés dans le pays, certains pourraient faire l’objet d’une récupération immédiate à en croire Kassé. D’autres, par contre, devront suivre une procédure qui pourrait prendre des années.
Interpellé sur la baisse des denrées de première nécessité, El Hadj Kassé a estimé qu’en 63 jours d’exercice du pouvoir, les promesses de campagne ne peuvent pas être toutes tenues. Même si beaucoup de choses sont déjà faites. Les promesses de Macky Sall doivent être mises en œuvre «pour un mandat», rappelle-t-il. Abordant la question relative à l’emploi, l’ancien journaliste a expliqué que le pouvoir en place va créer 500.000 emplois dans le pays dans les 5 ans à venir. Autant des cadres hautement qualifiés ne trouvent pas d’emploi, autant des personnes qui n’ont pas un très haut niveau d’étude et qui ont une qualification sont aussi au chômage. C’est pourquoi, pour résoudre ce problème, le gouvernement va renforcer le dispositif de forma tion professionnelle. Mais, «il y a une extrême rareté des ressources», convient El Hadj Kassé. Cependant, il avait annoncé que dans chaque région, il sera créé une école de formation. Jusque là...
Par ailleurs, l’Etat va utiliser le potentiel de 600.000 emplois qui existe dans la vallée pour donner une réponse à la question de l’emploi et favoriser l’implantation des entreprises dans le pays.
Jugez-en trois plus de deux ans après!
« Le rapatriement des biens acquis de facon illicite par des Sénégalais et placés à l’étranger ne posera aucun problème au pouvoir en place » disait Elhaj Kassé avant de renchérir : « il y a, au plan international, un mécanisme qui permet de procéder au rapatriement de ces biens » El Hadj Kassé répondait aux questions d’étudiants, précisément le mardi 6 juin 2012 à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar. C’était dans le cadre d’une émission spéciale que Radio France internationale (RFI) a organisée sur les attentes des populations vis-à-vis du nouveau pouvoir.
S’agissant des biens mal acquis, restés dans le pays, certains pourraient faire l’objet d’une récupération immédiate à en croire Kassé. D’autres, par contre, devront suivre une procédure qui pourrait prendre des années.
Interpellé sur la baisse des denrées de première nécessité, El Hadj Kassé a estimé qu’en 63 jours d’exercice du pouvoir, les promesses de campagne ne peuvent pas être toutes tenues. Même si beaucoup de choses sont déjà faites. Les promesses de Macky Sall doivent être mises en œuvre «pour un mandat», rappelle-t-il. Abordant la question relative à l’emploi, l’ancien journaliste a expliqué que le pouvoir en place va créer 500.000 emplois dans le pays dans les 5 ans à venir. Autant des cadres hautement qualifiés ne trouvent pas d’emploi, autant des personnes qui n’ont pas un très haut niveau d’étude et qui ont une qualification sont aussi au chômage. C’est pourquoi, pour résoudre ce problème, le gouvernement va renforcer le dispositif de forma tion professionnelle. Mais, «il y a une extrême rareté des ressources», convient El Hadj Kassé. Cependant, il avait annoncé que dans chaque région, il sera créé une école de formation. Jusque là...
Par ailleurs, l’Etat va utiliser le potentiel de 600.000 emplois qui existe dans la vallée pour donner une réponse à la question de l’emploi et favoriser l’implantation des entreprises dans le pays.
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