D'emblée notre interlocuteur dira que Waly, a , à la vitesse de l'éclair, mais "par la grâce de Dieu" et bien évidemment son talent incontesté, acquis un tel impact au niveau national comme sur l'échiquier international, qu'il se retrouve désormais dans la ligne de mire. Qui peut bien en vouloir à l'héritier (musicalement s'entend) de son pater, Thione Ballago Seck? " Il ne faut pas chercher loin; Il s'agit de puissants lobbyistes, des gens jusque-là insoupçonnés, jaloux de son succès" lâche tout de go notre vis-à-vis, aux cheveux de cendre, avant de tirer nerveusement sur sa clope.
À ses yeux, à la vitesse d’Internet, les potins sont devenus " informations" et les démentis formels depuis le fameux sac à main de Waly Seck n’y font rien.
Certes, le tee-shirt qu'il a porté le vendredi écoulé, coïncidant avec des manifestations de "gay pride" un peu partout dans le monde, particulièrement à Paris et à Londres, a assurément alimenté les rumeurs.
Mais, selon notre interlocuteur, le jeune chanteur est beaucoup plus actif actuellement dans la recherche du gain "ou osons- le dire d'être le leader de la musique Sénégalaise voire Africaine. Je crois savoir que Waly a délibérément porté ce tee-shirt sachant bien entendu , au départ le tollé que ça allait entrainer. Il a voulu se faire une publicité, mais je ne crois pas qu'il soit de cette abominable communauté gay comme certains de ses détracteurs tentent de le véhiculer"
Même les sceptiques, adeptes d’une approche plus dionysiaque, plus intensément de la critique notamment musicale, reconnaissent en "Waly, une valeur sûre de la musique Sénégalaise donc c'est tout à fait normal qu'il fasse l'objet de coups bas, de critiques, notamment sur son port vestimentaire qui est sa touche...".
Ce membre du staff du lead vocal des Faramarèèn , surnommé "El Amine", proche parmi les plus proches de l'impresario "Ndiaga Euros", d'opiner du bonnet avant de lâcher qu'il admire en lui le " bourreau de travail, qui donne l’exemple", et celui " qui respecte la musique, le public, les inconditionnels tous âges confondus , les techniciens et musiciens". À preuve, renchérira t'il: "L’atmosphère de travail avec Waly comme chef est agréable ; il est à la fois très exigeant et convivial. Il garde la tête sur les épaules et sait ce qu'il veut et où il va".
Joint au téléphone par dakaposte, l'une des pièces maitresses de la musique Sénégalaise, en l'occurence Guissé Pène relativisera: "Je pense qu'il a trouvé les couleurs du tee-shirt ressemblant un peu aux tons assez gais et vivants de l'Afrique, mais je ne crois vraiment pas que Waly puisse descendre aussi bas. À l'image d'un Pape Diouf ou d'un Fallou Dieng, ce gosse a déjà marqué de manière pérenne l’histoire musicale d'abord à Dakar où il joue régulièrement en "live" dans le cadre du Pinc Mi en remplissant ladite salle à chacune de ses apparitions ; en reconnectant l’orchestre de son père avec le marché des tournées et en le crédibilisant dans des répertoires où on ne l’attendait pas du tout (allusion faite par exemple à son dernier album). Bref, Waly, au même titre que la jeune génération que je qualifie de jeunes loups aux dents longues, a des idées, des idées et encore des idées à même de valoriser, d'exporter... notre musique"
À ses yeux, à la vitesse d’Internet, les potins sont devenus " informations" et les démentis formels depuis le fameux sac à main de Waly Seck n’y font rien.
Certes, le tee-shirt qu'il a porté le vendredi écoulé, coïncidant avec des manifestations de "gay pride" un peu partout dans le monde, particulièrement à Paris et à Londres, a assurément alimenté les rumeurs.
Mais, selon notre interlocuteur, le jeune chanteur est beaucoup plus actif actuellement dans la recherche du gain "ou osons- le dire d'être le leader de la musique Sénégalaise voire Africaine. Je crois savoir que Waly a délibérément porté ce tee-shirt sachant bien entendu , au départ le tollé que ça allait entrainer. Il a voulu se faire une publicité, mais je ne crois pas qu'il soit de cette abominable communauté gay comme certains de ses détracteurs tentent de le véhiculer"
Même les sceptiques, adeptes d’une approche plus dionysiaque, plus intensément de la critique notamment musicale, reconnaissent en "Waly, une valeur sûre de la musique Sénégalaise donc c'est tout à fait normal qu'il fasse l'objet de coups bas, de critiques, notamment sur son port vestimentaire qui est sa touche...".
Ce membre du staff du lead vocal des Faramarèèn , surnommé "El Amine", proche parmi les plus proches de l'impresario "Ndiaga Euros", d'opiner du bonnet avant de lâcher qu'il admire en lui le " bourreau de travail, qui donne l’exemple", et celui " qui respecte la musique, le public, les inconditionnels tous âges confondus , les techniciens et musiciens". À preuve, renchérira t'il: "L’atmosphère de travail avec Waly comme chef est agréable ; il est à la fois très exigeant et convivial. Il garde la tête sur les épaules et sait ce qu'il veut et où il va".
Joint au téléphone par dakaposte, l'une des pièces maitresses de la musique Sénégalaise, en l'occurence Guissé Pène relativisera: "Je pense qu'il a trouvé les couleurs du tee-shirt ressemblant un peu aux tons assez gais et vivants de l'Afrique, mais je ne crois vraiment pas que Waly puisse descendre aussi bas. À l'image d'un Pape Diouf ou d'un Fallou Dieng, ce gosse a déjà marqué de manière pérenne l’histoire musicale d'abord à Dakar où il joue régulièrement en "live" dans le cadre du Pinc Mi en remplissant ladite salle à chacune de ses apparitions ; en reconnectant l’orchestre de son père avec le marché des tournées et en le crédibilisant dans des répertoires où on ne l’attendait pas du tout (allusion faite par exemple à son dernier album). Bref, Waly, au même titre que la jeune génération que je qualifie de jeunes loups aux dents longues, a des idées, des idées et encore des idées à même de valoriser, d'exporter... notre musique"