Décidément, la politique est dégueulasse et Nicolas Machiavel ne savait pas si bien dire, 501 ans plutôt dans sa réflexion « L’âne d’or» que «Les temps où nous vivons sont si remplis de méchanceté et de corruption, que sans, avoir des yeux le lynx, on aperçoit plus facilement le mal que le bien ». Associons y la peur et l’on aura le tableau du terrorisme plumitif qui tente d’écorner, salir, détruire son image. Il a fallu qu’il évoque son « rêve pour Kaolack » pour qu’on lui cherche des poux sur la tête, sur des opérations bancaires dont ceux qui en parlent ne savent rien pour la simple raison que l’argent qui n’a pas d’odeur et n’aime point le bruit ne s’expose pas sur la place publique.
Le comble du simulacre tombe dans l’incontinence servile de l’info ballot, selon laquelle un mandat d’arrêt international est servi au voyageur Baye Ciss qui embarque et débarque pendant ce temps, à sa guise et au déplaisir de ses détracteurs, devant les polices des frontières aéroportuaires asiatiques, européennes, américaines et africaines. Savent-ils seulement ce qu’ils écrivent ? Si ce n’est penaud.
Que reproche-t-on au PDG de Cisscorp ? D’avoir «arrangé des structures sénégalaises et africaines afin qu’elles lèvent des fonds auprès des institutions bancaires et financières en vue de leur développement».
Et alors ! Où est le problème ?
Qu’est-ce qui l’empêche, en professionnel accrédité par le secteur le plus verrouillé, au nom d’une expérience et confiance appréciées et renouvelées depuis plusieurs années, de mobiliser des ressources pour la levée de fonds au profit qui plus est de nos entreprises? Serait-ce un mal de faciliter l’octroi à titre de prêts des dizaines de milliards de francs CFA ou millions d’euros à des d’entreprises d’ici ou africaines qui vont l’injecter dans nos économies nationales, soit la Production nationale brute ?
Si ce n’est la dictature de la méconnaissance des mécanismes et principes de la World Banking et l’ignorance des termes d’opérations financières complexes qui affichent ses limites à travers ces plumes, c’est alors la défense trébuchante et sonnante au service d’un camp qui souffre certainement d’une bataille en cours, sur un autre terrain, sur le dos, malheureusement hélas, des sociétés sénégalaises et étrangères qui se retrouvent jetées en pâture dans cette guerre des tranchées … politiques qui ne dit pas son nom.
Que Baye Ciss soit le facilitateur pour l’octroi des prêts est une chose, que les bénéficiaires n’amortissent pas leurs dettes, en est une autre ! C’est tellement clair.
A moins que la faute ne soit pour ce self made man, qui, après avoir amassé une fortune et une crédibilité jalousée et recherchée dans le milieu de la haute finance, de descendre dans un tout autre univers, le marigot des crocodiles de la politique. Il ne faut pas s’étonner, qu’ils exposent sans scrupules Mat Force, Guicopress, etc., bouleversent des équilibres précaires d’emplois et d’affaires, dans la guerre de tranchée qui en dit long sur la bataille de Kaolack.
Pour autant, c’est sur le terrain politique, à Kaolack et non ailleurs, encore moins sur le terrain de la finance ou dans les colonnes de la presse, que l’affrontement devra se faire. Qu’il vente, pleuve ou tombe des grêles, le combat pour un Kaolack nouveau est lancé. Il faut souhaiter que des hommes neufs, qui n’ont rien de matériel à attendre de la politique, se lancent dans le combat du développement de leur ville et des populations.
Charles FAYE Observateur
Le comble du simulacre tombe dans l’incontinence servile de l’info ballot, selon laquelle un mandat d’arrêt international est servi au voyageur Baye Ciss qui embarque et débarque pendant ce temps, à sa guise et au déplaisir de ses détracteurs, devant les polices des frontières aéroportuaires asiatiques, européennes, américaines et africaines. Savent-ils seulement ce qu’ils écrivent ? Si ce n’est penaud.
Que reproche-t-on au PDG de Cisscorp ? D’avoir «arrangé des structures sénégalaises et africaines afin qu’elles lèvent des fonds auprès des institutions bancaires et financières en vue de leur développement».
Et alors ! Où est le problème ?
Qu’est-ce qui l’empêche, en professionnel accrédité par le secteur le plus verrouillé, au nom d’une expérience et confiance appréciées et renouvelées depuis plusieurs années, de mobiliser des ressources pour la levée de fonds au profit qui plus est de nos entreprises? Serait-ce un mal de faciliter l’octroi à titre de prêts des dizaines de milliards de francs CFA ou millions d’euros à des d’entreprises d’ici ou africaines qui vont l’injecter dans nos économies nationales, soit la Production nationale brute ?
Si ce n’est la dictature de la méconnaissance des mécanismes et principes de la World Banking et l’ignorance des termes d’opérations financières complexes qui affichent ses limites à travers ces plumes, c’est alors la défense trébuchante et sonnante au service d’un camp qui souffre certainement d’une bataille en cours, sur un autre terrain, sur le dos, malheureusement hélas, des sociétés sénégalaises et étrangères qui se retrouvent jetées en pâture dans cette guerre des tranchées … politiques qui ne dit pas son nom.
Que Baye Ciss soit le facilitateur pour l’octroi des prêts est une chose, que les bénéficiaires n’amortissent pas leurs dettes, en est une autre ! C’est tellement clair.
A moins que la faute ne soit pour ce self made man, qui, après avoir amassé une fortune et une crédibilité jalousée et recherchée dans le milieu de la haute finance, de descendre dans un tout autre univers, le marigot des crocodiles de la politique. Il ne faut pas s’étonner, qu’ils exposent sans scrupules Mat Force, Guicopress, etc., bouleversent des équilibres précaires d’emplois et d’affaires, dans la guerre de tranchée qui en dit long sur la bataille de Kaolack.
Pour autant, c’est sur le terrain politique, à Kaolack et non ailleurs, encore moins sur le terrain de la finance ou dans les colonnes de la presse, que l’affrontement devra se faire. Qu’il vente, pleuve ou tombe des grêles, le combat pour un Kaolack nouveau est lancé. Il faut souhaiter que des hommes neufs, qui n’ont rien de matériel à attendre de la politique, se lancent dans le combat du développement de leur ville et des populations.
Charles FAYE Observateur