Le président du Collectif des cadres casamançais est formel : l'attaque de Bourofaye, qui a fait 13 morts et 7 blessés, ne remet nullement en cause le processus de paix en Casamance. Il constitue, selon lui, un acte auquel on pouvait s'attendre et qu'il faut circonscrire.
"Il s'agit d'un incident que je ne dirais pas isolé, mais d'un incident qui, malheureusement, était presque prévisible, avance Pierre Goudiaby Atepa dans les colonnes de L'AS. C'est un cas précis. Nous sommes en train de réunir les éléments pour aider le gouvernement à retracer ce qui s'est vraiment passé et que tous les responsables soient identifiés et punis."
Les cadres casamançais, informe leur président, vont faire face à la presse, ce mardi dans l'après-midi, "pour dire à la communauté nationale et internationale que ce n'est pas le processus (de paix) qui est remis en cause".
"Nous pensons que la Casamance ne va pas retomber dans l'insécurité, pronostique l'architecte. Il y a un événement qu'il faut circonscrire et analyser et que le gouvernement essaie de trouver des solutions qui existent."
"Il s'agit d'un incident que je ne dirais pas isolé, mais d'un incident qui, malheureusement, était presque prévisible, avance Pierre Goudiaby Atepa dans les colonnes de L'AS. C'est un cas précis. Nous sommes en train de réunir les éléments pour aider le gouvernement à retracer ce qui s'est vraiment passé et que tous les responsables soient identifiés et punis."
Les cadres casamançais, informe leur président, vont faire face à la presse, ce mardi dans l'après-midi, "pour dire à la communauté nationale et internationale que ce n'est pas le processus (de paix) qui est remis en cause".
"Nous pensons que la Casamance ne va pas retomber dans l'insécurité, pronostique l'architecte. Il y a un événement qu'il faut circonscrire et analyser et que le gouvernement essaie de trouver des solutions qui existent."