Le torchon brûle et la député Mously Diakhaté et les jeunes de Yarakh, regroupés au sein de la Convergence nationale pour la paix et le développement (A3J), dont elle est la présidente. Ils ont décidé de se débarrasser d’elle, lui reprochant d’avoir trahi la cause qui a motivé la création de la structure et de semer la zizanie en son sein.
A en croire Le Quotidien, les jeunes de Yarakh estiment que la député ne peut plus gérer la structure. « Nous ne nous retrouvons plus dans la démarche de Mously Diakhaté. Elle a carrément dévié de l’objectif pour lequel on a mis en place la structure pour s’occuper des problèmes cruciaux de développement de notre localité et du Sénégal. Non seulement elle ne maîtrise plus la structure, mais elle pense pus à elle qu’à l’intérêt général », a précisé Assane Ndiaye Président des jeunes. Tout comme lui, Mara Niang, membre fondateur de la structure précise que Mously Diakhaté n’a pas été élue à ce poste. « On l’a mise par confiance et par consensus ». Ils comptent lancer dans les jours à venir la Convergence nationale pour la paix et le développement (A3J)/Authentique.
Par ailleurs, les jeunes de Yarakh reprochent aux autorités leur manque de vision et de volonté pour développer leur localité.
A en croire Le Quotidien, les jeunes de Yarakh estiment que la député ne peut plus gérer la structure. « Nous ne nous retrouvons plus dans la démarche de Mously Diakhaté. Elle a carrément dévié de l’objectif pour lequel on a mis en place la structure pour s’occuper des problèmes cruciaux de développement de notre localité et du Sénégal. Non seulement elle ne maîtrise plus la structure, mais elle pense pus à elle qu’à l’intérêt général », a précisé Assane Ndiaye Président des jeunes. Tout comme lui, Mara Niang, membre fondateur de la structure précise que Mously Diakhaté n’a pas été élue à ce poste. « On l’a mise par confiance et par consensus ». Ils comptent lancer dans les jours à venir la Convergence nationale pour la paix et le développement (A3J)/Authentique.
Par ailleurs, les jeunes de Yarakh reprochent aux autorités leur manque de vision et de volonté pour développer leur localité.