Le journal Source A avait donné en primeur l’information. Dans un communiqué, le ministère de l’Environnement a reconnu le transfert d’oryx de la réserve du Ferlo (Ranérou) vers la ferme Sael, qui est un domaine privé, sans donner plus de détails. Au-delà, on a appris des services du ministère que 2 espèces sont mortes durant leur convoyage «nocturne où toutes les bêtes sont arrivées». Mais elles ont connu quelques blessures et une fracture du fémur qui leur ont été fatales. Leur décès est intervenu «après plusieurs jours de soins vétérinaires auxquels ils n’auront finalement pas survécu. Les quatre autres sont vivants et en bonne santé», explique-t-on au niveau du ministère.
D’après le département de l’Environnement, ce transfert n’était pas une simple manœuvre individuelle, mais il entrait «dans le cadre de la mise en œuvre de la politique nationale de conservation de la biodiversité». Il rappelle que «les initiatives privées relatives à un repeuplement d’espèces de faune sauvage, jusque-là existantes au Sénégal, se font sur la base de protocoles d’accord dûment établis». Dans ses explications, il rappelle que des oryx ont fait l’objet de transfert «dans d’autres sites privés ou communautaires, notamment à Amboura (Podor), Koyli Alpha (Linguère) en Mauritanie sur la base d’un accord».
Il faut savoir que le gouvernement avait entrepris le repeuplement de cette réserve de Ranérou qui compte désormais plus de 500 espèces en semi-captivité. Alors qu’elles avaient disparu du Sénégal, il y a 20 ans. Grâce à un accord avec Israël, elles ont été réintroduites dans notre pays en 1999.
LeQuotidien
D’après le département de l’Environnement, ce transfert n’était pas une simple manœuvre individuelle, mais il entrait «dans le cadre de la mise en œuvre de la politique nationale de conservation de la biodiversité». Il rappelle que «les initiatives privées relatives à un repeuplement d’espèces de faune sauvage, jusque-là existantes au Sénégal, se font sur la base de protocoles d’accord dûment établis». Dans ses explications, il rappelle que des oryx ont fait l’objet de transfert «dans d’autres sites privés ou communautaires, notamment à Amboura (Podor), Koyli Alpha (Linguère) en Mauritanie sur la base d’un accord».
Il faut savoir que le gouvernement avait entrepris le repeuplement de cette réserve de Ranérou qui compte désormais plus de 500 espèces en semi-captivité. Alors qu’elles avaient disparu du Sénégal, il y a 20 ans. Grâce à un accord avec Israël, elles ont été réintroduites dans notre pays en 1999.
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