Inauguré en grande pompe le 7 décembre dernier, l’Aéroport international Blaise Diagne de Diass, situé à 45 km, était présenté comme une infrastructure ultramoderne.
Mais depuis son lancement, l’AIBD est inscrit au registre des « ’faits-divers’ avec ses nombreux manquements : problème de cuves de kérosène, problème de fret, absence d’hôtels dans les environs et tout récemment la grève des aiguilleurs du ciel qui a paralysé l’aéroport pendant 24 h.
Avec tous les couacs relevés par la presse et les usagers, aucune mesure idoine n’a été prise pour apaiser la situation. Pour un aéroport qui devait être une fierté pour tout un pays, malheureusement tout fonctionne au ralenti avec une perte énorme sur tous les plans.
L’AIBD ne dispose que 120 chariots, un seul fauteuil roulant. Et pourtant 900 chariots sont bloqués au port de Dakar, selon une source bien informée.
Avec les énormes couacs notés sur tous les plans se posent la question de cette ouverture précipitée de cette infrastructure et celle de la fermeture de l’aéroport de Yoff. Ce dernier pouvait même accompagner l’Aibd pendant au moins six mois.
L’autorité doit rectifier le tir et régler ces manquements le plus vite possible.
Redaction de Afriquemidi.com
Mais depuis son lancement, l’AIBD est inscrit au registre des « ’faits-divers’ avec ses nombreux manquements : problème de cuves de kérosène, problème de fret, absence d’hôtels dans les environs et tout récemment la grève des aiguilleurs du ciel qui a paralysé l’aéroport pendant 24 h.
Avec tous les couacs relevés par la presse et les usagers, aucune mesure idoine n’a été prise pour apaiser la situation. Pour un aéroport qui devait être une fierté pour tout un pays, malheureusement tout fonctionne au ralenti avec une perte énorme sur tous les plans.
L’AIBD ne dispose que 120 chariots, un seul fauteuil roulant. Et pourtant 900 chariots sont bloqués au port de Dakar, selon une source bien informée.
Avec les énormes couacs notés sur tous les plans se posent la question de cette ouverture précipitée de cette infrastructure et celle de la fermeture de l’aéroport de Yoff. Ce dernier pouvait même accompagner l’Aibd pendant au moins six mois.
L’autorité doit rectifier le tir et régler ces manquements le plus vite possible.
Redaction de Afriquemidi.com