C’est le journal « Le Témoin » qui fait l’interrogation. Depuis plusieurs mois, des huissiers, courtiers, hommes d’affaires et responsables politiques manœuvrent pour pousser l’Etat à céder la caserne des Sapeurs pompiers sise avenue Malick Sy à Dakar à des promoteurs immobiliers marocains. A en croire nos confrères, ces lobbyistes font valoir l’argument selon lequel il serait d’intérêt « privé » de délocaliser l’état-major des Sapeurs pompiers pour permettre aux Marocains de poursuivre l’extension de la « Cité de l’Emergence » érigée sur le site de l’ancienne gare routière dite « Pompiers ». Une cité dont les travaux n’avancent guère, du reste.
Toutefois, le journal précise n’avoir pas dit que la « caserne Malick Sy » a été cédée ou vendue aux Marocains. Citant un clerc très proche du dossier, nos confrères indiquent que le projet de la délocalisation de la « caserne Malick Sy » serait en phase d’être ficelé. Comme quoi, cette caserne construite en 1952 et considérée comme un patrimoine historique des Sapeurs pompiers risque de disparaître sous les bulldozers des sociétés immobilières. La même source d’ajouter que le site abritant l’ancienne usine « Colgate Palmolive » aurait été ciblé par la construction d’un nouvel état-major des soldats du feu. Et les quelques 200 familles qui vivent dans la caserne ?, s’interroge encore « Le Témoin » qui informe, citant toujours des sources, qu’elles seront peut-être relogées dans d’autres camps militaires.
Toutefois, le journal précise n’avoir pas dit que la « caserne Malick Sy » a été cédée ou vendue aux Marocains. Citant un clerc très proche du dossier, nos confrères indiquent que le projet de la délocalisation de la « caserne Malick Sy » serait en phase d’être ficelé. Comme quoi, cette caserne construite en 1952 et considérée comme un patrimoine historique des Sapeurs pompiers risque de disparaître sous les bulldozers des sociétés immobilières. La même source d’ajouter que le site abritant l’ancienne usine « Colgate Palmolive » aurait été ciblé par la construction d’un nouvel état-major des soldats du feu. Et les quelques 200 familles qui vivent dans la caserne ?, s’interroge encore « Le Témoin » qui informe, citant toujours des sources, qu’elles seront peut-être relogées dans d’autres camps militaires.