Le Personnel naviguant commercial (PNC) d’Atlas multiservices, filiale de Royal Air Maroc (RAM), a observé deux jours de grève, avant-hier, mardi 18 octobre, et hier, mercredi 19. Ce mouvement d’humeur a provoqué d’importantes perturbations dans la prise en charge des clients de la compagnie marocaine, notamment à l’aéroport Mouhamed V de Casablanca. Il a surtout suscité la colère des responsables de la RAM, qui jettent la responsabilité de cette situation sur les travailleurs.
Dans un communiqué consulté par SeneWeb, la direction de la compagnie, qui se dit « surprise » par cette « grève sauvage de 48 heures (observée) en dehors de tout cadre légal », accuse les grévistes de chercher « à prendre en otage sans préavis les passagers » de la RAM. La compagnie promet de mettre « tout en œuvre pour assurer la plus grande partie de ses vols ».
La direction de la RAM laisse entendre que cette grève n’avait pas sa raison d’être. Car, soutient-elle, la réunion tenue lundi dernier avec des membres du PNC « s’est déroulée dans un climat responsable et les deux parties se sont mises d’accord pour la reprise du dialogue ».
« Faux ! » rétorque un des grévistes qui s’est confié à SeneWeb. À en croire ce dernier, au sortir de cette réunion le bureau syndical représentant le PNC d’Atlas multiservices a décidé d’aller en grève. Ce qui, martèle notre interlocuteur, signifie que l’ambiance de la réunion n’a pas été telle que décrite par la direction de la RAM et que celle-ci était au courant du mouvement.
Pour étayer ses propos notre source renvoie au communiqué annonçant la grève et publié lundi 17 octobre. « Le bureau UMT AMS appelle les hôtesses et stewards AMS, à un arrêt de travail de 2 jours reconductible, les 18 et 19 octobre 2016 », annonce le bureau syndical du PNC Atlas multiservices. Qui « dénonce les conditions d’exploitation des PNC opérant à bord des avions Royal Air Maroc », notamment.
Les grévistes n’ont pas manqué de souligner que la direction de la RAM n’a jamais accepté d’instaurer le dialogue. Dans leur communiqué, ils soutiennent : « Le bureau syndical n’a eu de cesse de dénoncer ces conditions et de réclamer à la direction de pouvoir entrer en négociation, afin de trouver un accord propice à l’évolution des deux parties. Durant 5 années cette main tendue n’eut aucune réponse concrète avec un refus de dialogue. »
Auteur: Seneweb.com
Dans un communiqué consulté par SeneWeb, la direction de la compagnie, qui se dit « surprise » par cette « grève sauvage de 48 heures (observée) en dehors de tout cadre légal », accuse les grévistes de chercher « à prendre en otage sans préavis les passagers » de la RAM. La compagnie promet de mettre « tout en œuvre pour assurer la plus grande partie de ses vols ».
La direction de la RAM laisse entendre que cette grève n’avait pas sa raison d’être. Car, soutient-elle, la réunion tenue lundi dernier avec des membres du PNC « s’est déroulée dans un climat responsable et les deux parties se sont mises d’accord pour la reprise du dialogue ».
« Faux ! » rétorque un des grévistes qui s’est confié à SeneWeb. À en croire ce dernier, au sortir de cette réunion le bureau syndical représentant le PNC d’Atlas multiservices a décidé d’aller en grève. Ce qui, martèle notre interlocuteur, signifie que l’ambiance de la réunion n’a pas été telle que décrite par la direction de la RAM et que celle-ci était au courant du mouvement.
Pour étayer ses propos notre source renvoie au communiqué annonçant la grève et publié lundi 17 octobre. « Le bureau UMT AMS appelle les hôtesses et stewards AMS, à un arrêt de travail de 2 jours reconductible, les 18 et 19 octobre 2016 », annonce le bureau syndical du PNC Atlas multiservices. Qui « dénonce les conditions d’exploitation des PNC opérant à bord des avions Royal Air Maroc », notamment.
Les grévistes n’ont pas manqué de souligner que la direction de la RAM n’a jamais accepté d’instaurer le dialogue. Dans leur communiqué, ils soutiennent : « Le bureau syndical n’a eu de cesse de dénoncer ces conditions et de réclamer à la direction de pouvoir entrer en négociation, afin de trouver un accord propice à l’évolution des deux parties. Durant 5 années cette main tendue n’eut aucune réponse concrète avec un refus de dialogue. »
Auteur: Seneweb.com