Mouhamadou M. TALL ne risque pas d’oublier sitôt son passage à l’aéroport international Blaise DIAGNE.
Le ressortissant burkinabé, qui était au Sénégal pour les besoins du Gamou de Kaolack, indique, dans les colonnes du journal EnQuête, avoir vécu le calvaire à l’AIBD.
« J’ai des médicaments à prendre. Aussi je ne peux pas ne pas manger. Et, ici la bouffe est hors de portée. On me parle d’un sandwich à 3500 Fcfa, une toute petite tasse de café à 1500F. C’est excessif. Mais je ne peux pas ne pas manger. Ce qui me fait le plus mal, c’est le manque d’information. Si j’étais informé au préalable, j’aurais pu prendre mes dispositions », déplore Mouhamadou M. TALL.
Les misères de ce passager, qui s’est pointé à l’AIBD à 4 heures du matin, ne s’arrêtent pas au prix excessif de la nourriture. Selon lui, le retard accusé a failli lui coûter plus que cher. «je pensais être chez moi à cette heure pour prendre ma piqure. Au Burkina, même si on doit couper l’eu ou l’électricité, les populations sont informées une semaine à l’avance. Je pense que c’est le minimum… », dénonce-t-il, regrettant de n’avoir pas pu prendre ses médicaments.
WALFNet
Le ressortissant burkinabé, qui était au Sénégal pour les besoins du Gamou de Kaolack, indique, dans les colonnes du journal EnQuête, avoir vécu le calvaire à l’AIBD.
« J’ai des médicaments à prendre. Aussi je ne peux pas ne pas manger. Et, ici la bouffe est hors de portée. On me parle d’un sandwich à 3500 Fcfa, une toute petite tasse de café à 1500F. C’est excessif. Mais je ne peux pas ne pas manger. Ce qui me fait le plus mal, c’est le manque d’information. Si j’étais informé au préalable, j’aurais pu prendre mes dispositions », déplore Mouhamadou M. TALL.
Les misères de ce passager, qui s’est pointé à l’AIBD à 4 heures du matin, ne s’arrêtent pas au prix excessif de la nourriture. Selon lui, le retard accusé a failli lui coûter plus que cher. «je pensais être chez moi à cette heure pour prendre ma piqure. Au Burkina, même si on doit couper l’eu ou l’électricité, les populations sont informées une semaine à l’avance. Je pense que c’est le minimum… », dénonce-t-il, regrettant de n’avoir pas pu prendre ses médicaments.
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