La tristesse a gagné du terrain dans cette demeure au cœur du quartier 11 Novembre (Mbour). Mais les parents d’Oulymata Fall (seule fille parmi les huit morts enregistrés) s’appuient sur leur foi inébranlable pour consoler les proches venus partager leur peine. Son père Mamadou Fall, fonctionnaire de la police à la retraite, décrit sa fille comme « une fille très correcte, travailleuse, qui se dévouait pour tout le monde ».
« Elle est partie dans des conditions tragiques, mais nous croyons en Dieu, nous ne pouvons que nous plier à Sa Décision », philosophe Mamadou Fall.
Née le 14 Septembre 1986, Oulymata Fall quittait son quartier avec enthousiasme, accompagnée de ses deux frères et de sa cousine. « Oulymata est ma cousine, je l’ai fait monter à bord d’un véhicule avant de monter dans un autre. Au moment du drame, je ne l’ai pas vue… », murmure Astou Sarr, les larmes aux yeux.
Son père affecté, annonce la volonté de mettre en place un collectif des parents des victimes. « Nous allons former un collectif et porter plainte contre la Ligue de Football Professionnel. Apres la levée des corps, nous nous poserons pour mieux affiner la démarche ».
Le père peiné, déplore le manque de formation des agents de la police. « Ils cèdent trop vite à la panique là où ils devraient faire preuve de tact.», constate ce policier et père chagriné.
« Elle est partie dans des conditions tragiques, mais nous croyons en Dieu, nous ne pouvons que nous plier à Sa Décision », philosophe Mamadou Fall.
Née le 14 Septembre 1986, Oulymata Fall quittait son quartier avec enthousiasme, accompagnée de ses deux frères et de sa cousine. « Oulymata est ma cousine, je l’ai fait monter à bord d’un véhicule avant de monter dans un autre. Au moment du drame, je ne l’ai pas vue… », murmure Astou Sarr, les larmes aux yeux.
Son père affecté, annonce la volonté de mettre en place un collectif des parents des victimes. « Nous allons former un collectif et porter plainte contre la Ligue de Football Professionnel. Apres la levée des corps, nous nous poserons pour mieux affiner la démarche ».
Le père peiné, déplore le manque de formation des agents de la police. « Ils cèdent trop vite à la panique là où ils devraient faire preuve de tact.», constate ce policier et père chagriné.