Le collectif des Acquéreurs de propriétés à Anomora demande à l’Etat de diligenter la signature de décrets de baux d’attribution et de régulariser leur situation.
Regroupant 7992 membres avec 200 logements implantés, ces sénégalais de la diaspora crient leur désarroi. Face à la presse le secrétaire général du syndicat unique des travailleurs de la santé et de l’action sociale sutsas, par ailleurs président dudit collectif a fait savoir : » si le promoteur avait disposé dans un premier temps du bail, cette situation ne serait pas arrivée. Il était dans les dispositions. C’était pour sécuriser les deux premiers baux, les 118 hectares. Malheureusement c’est en milieu de procédure que le régime a été changé. Le Président entrant, Macky Sall n’a donc toujours pas signé le bail de 2012 à nos jours, et il est le seul habilité à le faire. Si on n’a pas de bail on est dans une situation irrégulière » dira t’il. « On nous avez demandé de faire l’etat des lieux aujourd’hui il ya 2 ans de celà avec la direction en charge de l’habitat.
Tous les dossiers concernant le nombre d’adhérent et les flux financiers étaient parvenus au promoteur .Nous avions reçu les propositions du ministre à savoir des parcelles à usage d’habitation livrés dans plusieurs sites à savoir tivaouane peul, lac rose mais aux dernières nouvelles les décrets d’approbation ont été signé par le chef de l’etat mais il manquait le décret d’attribution et c »est ce décret d’attribution qui traduit le titre foncier ».
Ne se limitant pas à ces déclarations il poursuit « nous sommes dans l’attente de ces propositions .Nous sommes dans le désarroi c’est l’état qui nous avait promis qu’il ne pouvait pas nous donner des logement mais l’état pouvait nous accompagner dans les logements sociaux avec l’octroi de terrains en me donnant des prêts de dmc .
Etant donné que le chef de l’Etat a inscrit son programme sur le registre de la réduction des inégalités sociales nous pensons que le logement social constitue la première perspectives pour lutter contre la pauvreté. L »état a dédommagé des gens dans le secteur privé nous autres en tant que travailleurs de coopérative nous méritons autant ces faveurs et nous l’invitons à plus de générosité à plus de pragmatisme »a laissé entendre le syndicaliste.
Fatou Baba Fall
Regroupant 7992 membres avec 200 logements implantés, ces sénégalais de la diaspora crient leur désarroi. Face à la presse le secrétaire général du syndicat unique des travailleurs de la santé et de l’action sociale sutsas, par ailleurs président dudit collectif a fait savoir : » si le promoteur avait disposé dans un premier temps du bail, cette situation ne serait pas arrivée. Il était dans les dispositions. C’était pour sécuriser les deux premiers baux, les 118 hectares. Malheureusement c’est en milieu de procédure que le régime a été changé. Le Président entrant, Macky Sall n’a donc toujours pas signé le bail de 2012 à nos jours, et il est le seul habilité à le faire. Si on n’a pas de bail on est dans une situation irrégulière » dira t’il. « On nous avez demandé de faire l’etat des lieux aujourd’hui il ya 2 ans de celà avec la direction en charge de l’habitat.
Tous les dossiers concernant le nombre d’adhérent et les flux financiers étaient parvenus au promoteur .Nous avions reçu les propositions du ministre à savoir des parcelles à usage d’habitation livrés dans plusieurs sites à savoir tivaouane peul, lac rose mais aux dernières nouvelles les décrets d’approbation ont été signé par le chef de l’etat mais il manquait le décret d’attribution et c »est ce décret d’attribution qui traduit le titre foncier ».
Ne se limitant pas à ces déclarations il poursuit « nous sommes dans l’attente de ces propositions .Nous sommes dans le désarroi c’est l’état qui nous avait promis qu’il ne pouvait pas nous donner des logement mais l’état pouvait nous accompagner dans les logements sociaux avec l’octroi de terrains en me donnant des prêts de dmc .
Etant donné que le chef de l’Etat a inscrit son programme sur le registre de la réduction des inégalités sociales nous pensons que le logement social constitue la première perspectives pour lutter contre la pauvreté. L »état a dédommagé des gens dans le secteur privé nous autres en tant que travailleurs de coopérative nous méritons autant ces faveurs et nous l’invitons à plus de générosité à plus de pragmatisme »a laissé entendre le syndicaliste.
Fatou Baba Fall