Prix découvertes Rfi 2014, la chanteuse Marèma se signale sur le terrain judiciaire. Elle a déposé une plainte pour abus de confiance contre Julie Poncelmet et Samba Diaïté, respectivement, patronne et ex-représentant au Sénégal de Scenegal Éthic, la société qui s’occupe de son management sur la scène internationale.
Marèma reproche à Diaïté de l’avoir flouée en minorant ses cachets qu’il était chargé de collecter avant de prélever sa commission de 20%, selon les termes du contrat qui lie la chanteuse à Scenegal Éthic. « En plus, il se permettait de payer d’autres personnes avec les rémunérations qu’il recevait sans autorisation », se plaint la musicienne dans un document relatant l’affaire.
Julie Poncelet, elle, devait collecter les cachets de toutes les prestations de Marèma en Europe et prélever 3000 euros (près de 2 millions de francs CFA), comme le stipule son contrat. Elle aurait ramassé les fonds et aurait disparu dans la nature sans rien reverser.
Manque de bol, elle avait oublié de désactiver son compte Facebook d’un téléphone qu’elle avait prêté à Marèma. Oubliant sans doute ce détail, elle aurait avoué sans le vouloir son forfait à Diaïté : « Hahahah, je me suis cassée sans payer Mao (le producteur de la chanteuse) et Marèma et sans signer le document… J’ai osé. »
L’avocat de Marèma réclame 100 millions à Samba Diaïté et Julie Poncelet. Aussi, il demande un mandat de dépôt contre le premier et un mandat d’arrêt international contre la seconde.
Les mis en cause sont convoqués demain, jeudi 15 décembre, devant le tribunal de grande instance de Dakar statuant en matière correctionnelle.
(Source : Les Échos)
Marèma reproche à Diaïté de l’avoir flouée en minorant ses cachets qu’il était chargé de collecter avant de prélever sa commission de 20%, selon les termes du contrat qui lie la chanteuse à Scenegal Éthic. « En plus, il se permettait de payer d’autres personnes avec les rémunérations qu’il recevait sans autorisation », se plaint la musicienne dans un document relatant l’affaire.
Julie Poncelet, elle, devait collecter les cachets de toutes les prestations de Marèma en Europe et prélever 3000 euros (près de 2 millions de francs CFA), comme le stipule son contrat. Elle aurait ramassé les fonds et aurait disparu dans la nature sans rien reverser.
Manque de bol, elle avait oublié de désactiver son compte Facebook d’un téléphone qu’elle avait prêté à Marèma. Oubliant sans doute ce détail, elle aurait avoué sans le vouloir son forfait à Diaïté : « Hahahah, je me suis cassée sans payer Mao (le producteur de la chanteuse) et Marèma et sans signer le document… J’ai osé. »
L’avocat de Marèma réclame 100 millions à Samba Diaïté et Julie Poncelet. Aussi, il demande un mandat de dépôt contre le premier et un mandat d’arrêt international contre la seconde.
Les mis en cause sont convoqués demain, jeudi 15 décembre, devant le tribunal de grande instance de Dakar statuant en matière correctionnelle.
(Source : Les Échos)