Les ex travailleurs de Ama Sénégal courent toujours derrière les 2,7 milliards de francs Cfa que leur doit l’Etat du Sénégal. En effet, de l’avis de Ibra Ndiaye, le secrétaire général du syndicat national du regroupement des travailleurs du nettoiement, l’Etat traîne toujours les pays pour s’acquitter de ses engagements envers eux.
Cette situation commencent, martèle le syndicaliste, à sérieusement les inquiéter car depuis la commission paritaire que leur avaient demandé de mettre sur pied le Premier ministre et le ministre de l’Economie et des Finances, ils n’ont plus revu le coordonnateur de ladite commission qui n’était personne d’autre qu’Abdoulaye Diouf Sarr, leur ministre de tutelle, depuis la première et unique réunion.
Et, ajoute-t-il, cette réunion remonte déjà à un an. Mais, ces ex travailleurs ne comptent pas en rester là puisqu’ils menacent d’exécuter un plan d’action qui pourrait «nuire aux populations», si l’Etat persiste dans son mutisme.
Cette situation est jugée d’autant plus incompréhensible que le chef de l’Etat a lui-même, rappelle M. Ndiaye, «demandé qu’on nous paie notre argent. Mais cela ne doit pas se limiter à un simple slogan».
Les ex travailleurs de Ama Sénégal ont déjà eu à se faire entendre l’année dernière avec une greve a la faim.
Cette situation commencent, martèle le syndicaliste, à sérieusement les inquiéter car depuis la commission paritaire que leur avaient demandé de mettre sur pied le Premier ministre et le ministre de l’Economie et des Finances, ils n’ont plus revu le coordonnateur de ladite commission qui n’était personne d’autre qu’Abdoulaye Diouf Sarr, leur ministre de tutelle, depuis la première et unique réunion.
Et, ajoute-t-il, cette réunion remonte déjà à un an. Mais, ces ex travailleurs ne comptent pas en rester là puisqu’ils menacent d’exécuter un plan d’action qui pourrait «nuire aux populations», si l’Etat persiste dans son mutisme.
Cette situation est jugée d’autant plus incompréhensible que le chef de l’Etat a lui-même, rappelle M. Ndiaye, «demandé qu’on nous paie notre argent. Mais cela ne doit pas se limiter à un simple slogan».
Les ex travailleurs de Ama Sénégal ont déjà eu à se faire entendre l’année dernière avec une greve a la faim.