Les faits à la fois inédits et graves ont eu pour cadre la station d'essence Shell sis à un jet de pierres de l'imprimerie TANDIAN sur la route de l'aéroport. Dakarposte.com, qui s'est déplacé, dans la nuit du jeudi au vendredi 28 octobre 2016,jusqu'au lieu où s'est produit le drame, a pu recouper.
Et, des informations glanées, à l'image des pandores, tout est parti d'une altercation entre le conducteur d'une Mercedes de marque ML et un chauffeur de taxi R 19 répondant au nom d'I. Samb.
En vérité, ils se sont disputés la pompe pour se remplir de l'essence. S'en suivra alors une dispute où les mots ont volé très bas et contre toute attente, le conducteur de la Mercedes sortira son pistolet du coffre de sa voiture avant d'actionner la gâchette. Il tirera un coup de sommation en l'air qui fera détaler aussi bien les employés de la station , c'est à dire les pompistes et le vigile que les rares personnes qui étaient présents sur place.
Si les pompistes et le préposé à la sécurité des lieux ont préféré se terrer à l'intérieur de l'échoppe alimentaire de la station, les quelques conducteurs de véhicule qui attendaient leur tour pour se remplir le réservoir démarreront en trombe pour se perdre dans Nord Foire et Yoff.
Moment choisi par le conducteur de la Mercedes pour tirer un autre coup de feu sur l'une des roues du taxi de Samb. C'est sur ces entrefaites que le taximan est sorti de sa voiture pour empoigner le "particulier" (le conducteur de la Mercedes) en lui lançant: "sou déé yay Yallah rayma" (si vous êtes Dieu, tuez-moi!) Du tic au tac, l'individu (à bord de sa mercedes) n'hésitera pas à actionner encore la gâchette du pistolet et tirera une balle directement sur la tête du taximan qui s'affale.
Touché de plein fouet par le projectile, Samb meurt sur le coup. Les fragments de la balle venaient d'atteindre les tissus du cerveau.
Sans demander son reste, le meurtrier regagnera en un tour de main sa voiture avant de démarre en trombe. Il évitait ainsi un lynchage de la foule de curieux et autres qui venaient d'entendre les trois détonations.
C'est par la suite, qu'il s'est rendu "himself" à la brigade de gendarmerie de la foire. Qui a failli être assiégé par la cohorte de chauffeurs de taxi alertés par l'information qui s'est répandue comme une trainée de poudre.
Quelques heures après, le meurtrier, qui serait ivre au moment des faits, est reconduit sous bonne escorte sur le lieu du drame. Et, c'était pour reconstituer la manière atroce dont il venait d'abréger l'existence sur terre du taximan I. Samb. Pendant ce temps, ce dernier, originaire d'un village Sérère, gisait dans une marre de sang à la morgue d'un hôpital de la place.
Jusque tard dans la tard dans la soirée, les gendarmes de la légion d'intervention avaient quadrillé la dite station sise à Nord Foire et alentours pour éviter que les chauffeurs de taximan ne mettent à exécution leur menace d'incendier le lieu du drame et la brigade de gendarmerie de la Foire.
Et, des informations glanées, à l'image des pandores, tout est parti d'une altercation entre le conducteur d'une Mercedes de marque ML et un chauffeur de taxi R 19 répondant au nom d'I. Samb.
En vérité, ils se sont disputés la pompe pour se remplir de l'essence. S'en suivra alors une dispute où les mots ont volé très bas et contre toute attente, le conducteur de la Mercedes sortira son pistolet du coffre de sa voiture avant d'actionner la gâchette. Il tirera un coup de sommation en l'air qui fera détaler aussi bien les employés de la station , c'est à dire les pompistes et le vigile que les rares personnes qui étaient présents sur place.
Si les pompistes et le préposé à la sécurité des lieux ont préféré se terrer à l'intérieur de l'échoppe alimentaire de la station, les quelques conducteurs de véhicule qui attendaient leur tour pour se remplir le réservoir démarreront en trombe pour se perdre dans Nord Foire et Yoff.
Moment choisi par le conducteur de la Mercedes pour tirer un autre coup de feu sur l'une des roues du taxi de Samb. C'est sur ces entrefaites que le taximan est sorti de sa voiture pour empoigner le "particulier" (le conducteur de la Mercedes) en lui lançant: "sou déé yay Yallah rayma" (si vous êtes Dieu, tuez-moi!) Du tic au tac, l'individu (à bord de sa mercedes) n'hésitera pas à actionner encore la gâchette du pistolet et tirera une balle directement sur la tête du taximan qui s'affale.
Touché de plein fouet par le projectile, Samb meurt sur le coup. Les fragments de la balle venaient d'atteindre les tissus du cerveau.
Sans demander son reste, le meurtrier regagnera en un tour de main sa voiture avant de démarre en trombe. Il évitait ainsi un lynchage de la foule de curieux et autres qui venaient d'entendre les trois détonations.
C'est par la suite, qu'il s'est rendu "himself" à la brigade de gendarmerie de la foire. Qui a failli être assiégé par la cohorte de chauffeurs de taxi alertés par l'information qui s'est répandue comme une trainée de poudre.
Quelques heures après, le meurtrier, qui serait ivre au moment des faits, est reconduit sous bonne escorte sur le lieu du drame. Et, c'était pour reconstituer la manière atroce dont il venait d'abréger l'existence sur terre du taximan I. Samb. Pendant ce temps, ce dernier, originaire d'un village Sérère, gisait dans une marre de sang à la morgue d'un hôpital de la place.
Jusque tard dans la tard dans la soirée, les gendarmes de la légion d'intervention avaient quadrillé la dite station sise à Nord Foire et alentours pour éviter que les chauffeurs de taximan ne mettent à exécution leur menace d'incendier le lieu du drame et la brigade de gendarmerie de la Foire.