Le nouvel hymne a été joué lors de la cérémonie de levée des couleurs en présence du président Mohamed Ould Abdel Aziz, à Kaédi (sud), capitale de la région du Gorgol, sur le fleuve Sénégal, où a été décentralisée, cette année, la cérémonie, retransmise par les médias publics.
Le chef de l’Etat a annoncé, à cette occasion, le lancement d’un plan d’intervention d’urgence de plus de 97 millions d’euros en faveur des populations et de leur cheptel frappé par la forte sécheresse qui a touché ce pays désertique d’Afrique de l’Ouest en 2017. Le nouveau drapeau, hissé sur tous les édifices publics du pays, se distingue de l’ancien, représentant un croissant et une étoile jaunes sur fond vert, par l’ajout de deux bandes rouges symbolisant le sang des «martyrs» de la résistance, au début du XXème siècle, à la colonisation française dont la Mauritanie a acquis son indépendance le 28 novembre 1960. Les paroles du nouvel hymne, déjà diffusé chaque soir avant le journal télévisé, ont été entièrement réécrites par une commission de poètes choisis essentiellement par les autorités pour «insuffler plus d’enthousiasme en faveur de la défense et de l’amour de la patrie», selon ses auteurs qui reprochent au précédent d’être un «simple chant religieux».
AFP
Le chef de l’Etat a annoncé, à cette occasion, le lancement d’un plan d’intervention d’urgence de plus de 97 millions d’euros en faveur des populations et de leur cheptel frappé par la forte sécheresse qui a touché ce pays désertique d’Afrique de l’Ouest en 2017. Le nouveau drapeau, hissé sur tous les édifices publics du pays, se distingue de l’ancien, représentant un croissant et une étoile jaunes sur fond vert, par l’ajout de deux bandes rouges symbolisant le sang des «martyrs» de la résistance, au début du XXème siècle, à la colonisation française dont la Mauritanie a acquis son indépendance le 28 novembre 1960. Les paroles du nouvel hymne, déjà diffusé chaque soir avant le journal télévisé, ont été entièrement réécrites par une commission de poètes choisis essentiellement par les autorités pour «insuffler plus d’enthousiasme en faveur de la défense et de l’amour de la patrie», selon ses auteurs qui reprochent au précédent d’être un «simple chant religieux».
AFP