Le Climat est tendu entre les acteurs portuaires et certaines multinationales. Pour cause, les premiers dénoncent la passivité des autorités face aux seconds.
“Les multinationales refusent de se conformer à la loi et et règlements qui régissent l’activité portuaire. Pis, ces multinationales ont commencé par imposer des tarifications ”illicites”et ”abusives”, a déclaré Mactar Dialolo, Présdent de l’Union sénégalaise des entreprises de transit et transport agrée (Usetta). Des tarifications qui varient de cent trente mille (130 000) à cent quatre vingt mille (180 000) fracs CFA selon la nature. Cela malgré l’intervention du ministre du commerce qui a, selon eux, qualifié d’acte illégal. Selon les acteurs portuaires, il s’agit de facturations dont une partie est déjà payée par le fournisseur. Car, s’agissant de cotation.
En conférence de presse, hier, ces acteurs portuaires exigent l’arrêt immédiat de ces facturations illicites. De plus, ils demandent le remboursement des sommes déjà encaissées par les multinationales mises en cause dans l’affaire.
“Les multinationales refusent de se conformer à la loi et et règlements qui régissent l’activité portuaire. Pis, ces multinationales ont commencé par imposer des tarifications ”illicites”et ”abusives”, a déclaré Mactar Dialolo, Présdent de l’Union sénégalaise des entreprises de transit et transport agrée (Usetta). Des tarifications qui varient de cent trente mille (130 000) à cent quatre vingt mille (180 000) fracs CFA selon la nature. Cela malgré l’intervention du ministre du commerce qui a, selon eux, qualifié d’acte illégal. Selon les acteurs portuaires, il s’agit de facturations dont une partie est déjà payée par le fournisseur. Car, s’agissant de cotation.
En conférence de presse, hier, ces acteurs portuaires exigent l’arrêt immédiat de ces facturations illicites. De plus, ils demandent le remboursement des sommes déjà encaissées par les multinationales mises en cause dans l’affaire.