Les élus du peuple ont profité du vote du projet de budget du ministère du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des relations entre les institutions pour dénoncer la nouvelle tendance chez certains employeurs, qui n’hésitent pas à déposer le bilan pour échapper à la régularisation des arriérés de salaires de leur personnel.
L’examen du projet de budget du ministère du Travail a permis aux députés d’aborder la question du licenciement économique, dont sont victimes les anciens salariés du groupe Com7. Appelant l’Etat à prendre ses responsabilités face à cette nouvelle forme d’abus, les représentants du peuple estiment que si aucune mesure n’est prise, d’autres patrons de presse n’hésiteront pas à suivre l’exemple de Bara Tall.
« Je tiens à dénoncer ce qui s’est passé avec le groupe Com7. Le licenciement économique est en train de devenir une mode chez certains employeurs. Prenez garde, Monsieur le ministre, si rien n’est fait pour stopper ce phénomène, des patrons de presse suivront l’exemple de Bara Tall », s’est offusqué Seynabou Wade
Abondant dans le même sens, Zator Mbaye et Cheikh Ndiaye estiment qu’il est inadmissible de sacrifier des dizaines de personnes pour le bien-être d’une seule personne. « Comment peut-on expliquer le fait de déposer le bilan le vendredi en licenciant des dizaines de pères et mères de famille à qui vous devez des mois d’arrières de salaires, et mettre en place juste deux jours après une autre structure? C’est de l’abus et cela devrait être puni », s’insurgent-ils.
Avec jotay.net
L’examen du projet de budget du ministère du Travail a permis aux députés d’aborder la question du licenciement économique, dont sont victimes les anciens salariés du groupe Com7. Appelant l’Etat à prendre ses responsabilités face à cette nouvelle forme d’abus, les représentants du peuple estiment que si aucune mesure n’est prise, d’autres patrons de presse n’hésiteront pas à suivre l’exemple de Bara Tall.
« Je tiens à dénoncer ce qui s’est passé avec le groupe Com7. Le licenciement économique est en train de devenir une mode chez certains employeurs. Prenez garde, Monsieur le ministre, si rien n’est fait pour stopper ce phénomène, des patrons de presse suivront l’exemple de Bara Tall », s’est offusqué Seynabou Wade
Abondant dans le même sens, Zator Mbaye et Cheikh Ndiaye estiment qu’il est inadmissible de sacrifier des dizaines de personnes pour le bien-être d’une seule personne. « Comment peut-on expliquer le fait de déposer le bilan le vendredi en licenciant des dizaines de pères et mères de famille à qui vous devez des mois d’arrières de salaires, et mettre en place juste deux jours après une autre structure? C’est de l’abus et cela devrait être puni », s’insurgent-ils.
Avec jotay.net