Sonacos SA risque de disparaître pour une dette de 2 milliards à la BOA
Tremblement de terre à la Sonacos. Elle qui est pourtant sur un bon envol depuis quelques temps. L’As informe que «la Bank Of Africa (BOA) veut ruiner Sonacos».
Pour cause. Le 11 juillet prochain, si la vente de ses immeubles devient effective, il y aura surement éclatement. En effet, d’après le journal, une décision du 20 juin passé prononcée par le tribunal de grande instance de Dakar, autorise la BOA à vendre cinq immeubles de la Sonacos. Et, c’est la date du 11 juillet qui est fixée pour autorisation à ladite banque de passer à l’acte.
L’entreprise sénégalaise dispose d’une dette de 2, 100 milliards à payer et les intérêts seulement, sont estimés à 1, 400 milliard.
Parmi les immeubles susceptibles d’être vendus, il y a les locaux industriels, bâtiments administratifs, dépôts et entrepôts industriels qui sont basés à Bel-Air.
Du côté de la Sonacos SA, on a saisi les autorités pour essayer de trouver solution à l’affaire. Néanmoins, on reste très étonné. «Malgré les efforts et discussions engagés depuis octobre 2016 avec la BOA, celle-ci entame l’exécution forcée pour recouvrer son reliquat», relate L’As reprenant les inquiétudes du Directeur Général Pape Dieng et compagnie.
Actusen.com
Pour cause. Le 11 juillet prochain, si la vente de ses immeubles devient effective, il y aura surement éclatement. En effet, d’après le journal, une décision du 20 juin passé prononcée par le tribunal de grande instance de Dakar, autorise la BOA à vendre cinq immeubles de la Sonacos. Et, c’est la date du 11 juillet qui est fixée pour autorisation à ladite banque de passer à l’acte.
L’entreprise sénégalaise dispose d’une dette de 2, 100 milliards à payer et les intérêts seulement, sont estimés à 1, 400 milliard.
Parmi les immeubles susceptibles d’être vendus, il y a les locaux industriels, bâtiments administratifs, dépôts et entrepôts industriels qui sont basés à Bel-Air.
Du côté de la Sonacos SA, on a saisi les autorités pour essayer de trouver solution à l’affaire. Néanmoins, on reste très étonné. «Malgré les efforts et discussions engagés depuis octobre 2016 avec la BOA, celle-ci entame l’exécution forcée pour recouvrer son reliquat», relate L’As reprenant les inquiétudes du Directeur Général Pape Dieng et compagnie.
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