Le nouveau ministre de la Culture, Abdoulatif Coulibaly, a pris l’engagement, jeudi, à Dakar, de « bâtir et consolider l’identité » culturelle sénégalaise, tout en précisant être « nouveau » mais pas « dépaysé » dans ce secteur.
« Je suis un nouveau, mais je ne suis pas dépaysé », a-t-il dit en parlant de son rapport à la culture, avant de s’engager « à bâtir et à consolider cette identité sénégalaise, avec tous les acteurs du monde culturel ».
« Je suis convaincu qu’il y a d’extraordinaires choses à faire dans ce secteur. Tout développement doit être construit, pour être viable, autour d’une identité », a dit M. Coulibaly, en recevant les dossiers du ministère de la Culture des mains de son prédécesseur, Mbagnick Ndiaye.
« Celle de notre pays, notre identité nationale, on la construit depuis des années. Elle n’est pas achevée, j’y prendrai part, j’apporterai (…) ma contribution, si maigre soit-elle », a assuré Abdoulatif Coulibaly lors de la passation de service avec M. Ndiaye.
M. Coulibaly, journaliste et juriste de formation, dit ne « pas être un expert de la culture ». « C’est ma passion et j’ai envie de m’investir dans la culture », a-t-il assuré cependant.
Il dit compter sur « l’expertise du ministère et la collaboration des acteurs de la culture », pour bien exercer ses fonctions à la tête de ce département ministériel.
« Porter le sacerdoce du ministère est une grande responsabilité, mais également un honneur », a affirmé Abdoulatif Coulibaly, ajoutant que les fonctionnaires de ce département ont « préparé un terrain favorable » à l’exercice de ses fonctions ministérielles.
Il a salué la qualité du travail effectué par Mbagnick Ndiaye au ministère de la Culture.
Le ministre sortant a lui cité, parmi ses initiatives à la tête de ce département, la relance du Festival national des arts et cultures (FESNAC) et la rénovation en cours du patrimoine matériel et immatériel national.
Il a aussi évoqué « le dossier extrêmement sensible » du Mémorial du bateau « Le Joola », à construire pour honorer la mémoire des 1.863 personnes – selon un bilan du gouvernement sénégalais – disparues dans le naufrage de ce navire en septembre 2002.
« Je suis un nouveau, mais je ne suis pas dépaysé », a-t-il dit en parlant de son rapport à la culture, avant de s’engager « à bâtir et à consolider cette identité sénégalaise, avec tous les acteurs du monde culturel ».
« Je suis convaincu qu’il y a d’extraordinaires choses à faire dans ce secteur. Tout développement doit être construit, pour être viable, autour d’une identité », a dit M. Coulibaly, en recevant les dossiers du ministère de la Culture des mains de son prédécesseur, Mbagnick Ndiaye.
« Celle de notre pays, notre identité nationale, on la construit depuis des années. Elle n’est pas achevée, j’y prendrai part, j’apporterai (…) ma contribution, si maigre soit-elle », a assuré Abdoulatif Coulibaly lors de la passation de service avec M. Ndiaye.
M. Coulibaly, journaliste et juriste de formation, dit ne « pas être un expert de la culture ». « C’est ma passion et j’ai envie de m’investir dans la culture », a-t-il assuré cependant.
Il dit compter sur « l’expertise du ministère et la collaboration des acteurs de la culture », pour bien exercer ses fonctions à la tête de ce département ministériel.
« Porter le sacerdoce du ministère est une grande responsabilité, mais également un honneur », a affirmé Abdoulatif Coulibaly, ajoutant que les fonctionnaires de ce département ont « préparé un terrain favorable » à l’exercice de ses fonctions ministérielles.
Il a salué la qualité du travail effectué par Mbagnick Ndiaye au ministère de la Culture.
Le ministre sortant a lui cité, parmi ses initiatives à la tête de ce département, la relance du Festival national des arts et cultures (FESNAC) et la rénovation en cours du patrimoine matériel et immatériel national.
Il a aussi évoqué « le dossier extrêmement sensible » du Mémorial du bateau « Le Joola », à construire pour honorer la mémoire des 1.863 personnes – selon un bilan du gouvernement sénégalais – disparues dans le naufrage de ce navire en septembre 2002.