Les redoutables malfaiteurs, qui opéraient en bande spécialisée dans le vol à l’arrachée et le braquage à main armée contre les automobilistes, ont été mis hors d’état d’agresser en toute impunité par les vaillants hommes du lieutenant de police Oumar Ba Diédhiou, du commissariat de police de Guinaw-rail. Ils ont nuitamment perpétré leur dernier coup contre un ressortissant indien, qui était coincé dans les embouteillages sur l’autoroute à péage à hauteur de l’échangeur de Guinaw-rail.
Joli coup de filet des limiers en civil du commissariat de police de la commune de Guinaw-rails. Les éléments de la brigade de recherche de la police ont réussi à démanteler le très recherché gang de braqueurs en série et ont interpellé deux d’entre eux. Les malfaiteurs avaient chipé les 7 millions Cfa d’un ressortissant indien à bord d’un véhicule sur l’autoroute à péage. Leur modus operandi consistait à guetter les moments d’embouteillages monstres pendant les heures de pointe sur la route pour ensuite s’attaquer aux automobilistes qu’ils détroussent sous la menace d’armes blanches.
L’arrestation des délinquants est survenue au moment où la bande devait procéder au partage du butin (7 millions Cfa). Après leur coup, ils se sont retirés dans leur repaire et se sont mis à faire le décompte des liasses de billets de banque. Le chef de gang autoproclamé se lève et réclame la part du lion. Les autres membres du groupe s’opposent à la volonté de ce dernier et soutiennent avoir tous participé à «l’opération commando» contre le pauvre ressortissant indien. Ils s’emmêlent les pinceaux, échangent des propos virulents et menacent de solder leurs comptes dans le sang.
Impuissant devant le chef autoproclamé, l’un des malfrats invente une affaire d’agression physique suivie de vol de numéraires contre celui-ci, dépose une plainte à la police de Guinaw-rail et se constitue partie civile pour assouvir sa soif de vengeance. Les poulets ouvrent une enquête et convoquent le bonhomme. Mais, flairant un complot contre lui, il bat en brèche les accusations et livre en mille les dessous de l’histoire de la prétendue agression et de vol aux enquêteurs. Lesquels lui notifient les incriminations d’association de malfaiteurs, entre autres, et le coffrent. Ils convoquent séance tenante l’auteur de la plainte et le mettent en confrontation avec l’accusé. Le gus réfute cependant avec véhémence les allégations de son accusateur et campe sur sa position sans convaincre les flics. Il disjoncte, tombe le masque et se livre, pieds et mains liés, aux enquêteurs. Ils ont été déférés par la police de Guinaw-rail au parquet, hier, pour association de malfaiteurs, vol de numéraires commis la nuit avec usage d’armes blanches contre un ressortissant indien.
Les deux membres du gang en fuite géolocalisés
Les deux membres en fuite sont activement recherchés. Nos sources indiquent que ces derniers sont signalés quelque part dans le pays grâce au système de géolocalisation. Les gangsters opéraient tout le temps avec des armes blanches et ont accroché plusieurs individus à leur tableau de chasse. Ils traquaient les longs bouchons sur les routes, braquaient les automobilistes et se faufilaient entre les véhicules. Ils ont frappé dans beaucoup de quartiers huppés de Dakar, notamment Les Almadies. Ils menaient un train de vie dispendieux dans leur localité et faisaient tout le temps la bamboula avec le fruit de leurs razzias.
Source: LES ECHOS
Joli coup de filet des limiers en civil du commissariat de police de la commune de Guinaw-rails. Les éléments de la brigade de recherche de la police ont réussi à démanteler le très recherché gang de braqueurs en série et ont interpellé deux d’entre eux. Les malfaiteurs avaient chipé les 7 millions Cfa d’un ressortissant indien à bord d’un véhicule sur l’autoroute à péage. Leur modus operandi consistait à guetter les moments d’embouteillages monstres pendant les heures de pointe sur la route pour ensuite s’attaquer aux automobilistes qu’ils détroussent sous la menace d’armes blanches.
L’arrestation des délinquants est survenue au moment où la bande devait procéder au partage du butin (7 millions Cfa). Après leur coup, ils se sont retirés dans leur repaire et se sont mis à faire le décompte des liasses de billets de banque. Le chef de gang autoproclamé se lève et réclame la part du lion. Les autres membres du groupe s’opposent à la volonté de ce dernier et soutiennent avoir tous participé à «l’opération commando» contre le pauvre ressortissant indien. Ils s’emmêlent les pinceaux, échangent des propos virulents et menacent de solder leurs comptes dans le sang.
Impuissant devant le chef autoproclamé, l’un des malfrats invente une affaire d’agression physique suivie de vol de numéraires contre celui-ci, dépose une plainte à la police de Guinaw-rail et se constitue partie civile pour assouvir sa soif de vengeance. Les poulets ouvrent une enquête et convoquent le bonhomme. Mais, flairant un complot contre lui, il bat en brèche les accusations et livre en mille les dessous de l’histoire de la prétendue agression et de vol aux enquêteurs. Lesquels lui notifient les incriminations d’association de malfaiteurs, entre autres, et le coffrent. Ils convoquent séance tenante l’auteur de la plainte et le mettent en confrontation avec l’accusé. Le gus réfute cependant avec véhémence les allégations de son accusateur et campe sur sa position sans convaincre les flics. Il disjoncte, tombe le masque et se livre, pieds et mains liés, aux enquêteurs. Ils ont été déférés par la police de Guinaw-rail au parquet, hier, pour association de malfaiteurs, vol de numéraires commis la nuit avec usage d’armes blanches contre un ressortissant indien.
Les deux membres du gang en fuite géolocalisés
Les deux membres en fuite sont activement recherchés. Nos sources indiquent que ces derniers sont signalés quelque part dans le pays grâce au système de géolocalisation. Les gangsters opéraient tout le temps avec des armes blanches et ont accroché plusieurs individus à leur tableau de chasse. Ils traquaient les longs bouchons sur les routes, braquaient les automobilistes et se faufilaient entre les véhicules. Ils ont frappé dans beaucoup de quartiers huppés de Dakar, notamment Les Almadies. Ils menaient un train de vie dispendieux dans leur localité et faisaient tout le temps la bamboula avec le fruit de leurs razzias.
Source: LES ECHOS