Les revoilà, coucou sur nos marchés avec leurs boulets et griffes nauséabonds. Le vieux et célèbre magazine Jeune Afrique a frappé encore fort. Bien sûr, c’est cela aussi son charme vicieux qui cache un profond malaise jusque dans nos palais et sociétés étatiques aux grosses mamelles.
Ayant pris ses quartiers dans la capitale sénégalaise, les commandos, en mission de l’hebdomadaire international Jeune Afrique, ont écumé les sociétés publiques et beaucoup d’agences rattachées à la Présidence ou à la Primature. Comment Jeune Afrique a pris cette voilure après des opérations commerciales cigales avérées infructueuses ces trois dernières années depuis l’arrivée du Président Sall au pouvoir ?
N’ont ils pas fusillé le régime Macky Sall, car, l’on se souvient des enquêtes et reportages il y a seulement quelques mois, à la pommade karimiste (Karim Wade, fils de l’ancien Président Abdoulaye Wade) ? Acculé, le pouvoir Macky Sall a senti la pression médiatique venant d’une presse étrangère incontrôlable – qui pourrait – sans doute gêner et mettre mal à l’aise le régime.
Macky Sall enrôle Jeune Afrique avec l’appui de missi dominici qui ont manœuvré. Sans répit. Vite la donné change et la Présidence sénégalaise change de fusil d’épaule.
La Lettre de spoliation des coffres d’Oumar Youm agace...
Le spécial de 22 pages sur le SENEGAL cache bien un profond malaise auprès de certains directeurs généraux de sociétés nationales. Muni du quitus du palais présidentiel aux allures déconcertantes, Jeune Afrique pousse les pions et sort les cartes d’un jeu favori qu’il maîtrise bien.
Le clan Danielle Ben Yahmed, égérie inamovible de la Régie publicitaire de Jeune Afrique Groupe, envoie à Dakar, la malienne Fatou Tandizn, mascotte indecrottable et guêpe commerciale redoutable, du Groupe, pour la coordination du Spécial Sénégal. La malienne Fatou Tandian, a multiplié les allers retours Paris – Dakar.
Elle s’est appuyée beaucoup sur l’onction du chef du gouvernement, Mohammed Dionne, qui lui a servi d’escalier après le coup de pouce du Directeur de cabinet. Confidentiel Afrique a appris de sources bien informées, que Jeune Afrique facturait la page pleine à 22000 Euros (soit 13 millions fcfa).
Avec une posture ostentatoire, on a servi aux DG sénégalais gérant l’argent public de signer ou de laisser, écartant toutes concessions de renégocier les tarifs astronomiques publicitaires.
Réticence et résistance
Oumar Youm, le métronome de Jeune Afrique, dans son deal de lubrificateur avec Jeune Afrique, force la main aux DG d’agences publiques et sociétés nationales. Une source autorisée proche d’un Directeur de société publique, a confirmé à Confidentiel Afrique, que vu la grille tarifaire élevée de Jeune Afrique, sa société a décidé de ne pas souscrire. A ses risques de subir la foudre du palais présidentiel.
Cette position affligeante ne dérange guère nos autorités. Et Jeune Afrique n’en a cure. En septembre 2015, le même hebdomadaire avait ramassé des billes des caisses du trésor nigérien pour la réalisation d’un Special NIGER. Grâce à la recommandation du cabinet présidentiel signé des mains du ministre Directeur de cabinet adjoint, Ibrahim Yacouba.
Lors de la livraison du numéro spécial, les autorités de Niamey ont été stupéfaites et outrées du fait de la Une que Jeune Afrique a consacrée au Spécial NIGER : Le NIGER entre deux fronts. A quand nos états prendront conscience de cette humiliation que leur infligent ces gourous marchants de presse ? Le Spécial SENEGAL de Jeune Afrique est en kiosques. Nous y reviendrons...
Confidentielafrique.com
Ayant pris ses quartiers dans la capitale sénégalaise, les commandos, en mission de l’hebdomadaire international Jeune Afrique, ont écumé les sociétés publiques et beaucoup d’agences rattachées à la Présidence ou à la Primature. Comment Jeune Afrique a pris cette voilure après des opérations commerciales cigales avérées infructueuses ces trois dernières années depuis l’arrivée du Président Sall au pouvoir ?
N’ont ils pas fusillé le régime Macky Sall, car, l’on se souvient des enquêtes et reportages il y a seulement quelques mois, à la pommade karimiste (Karim Wade, fils de l’ancien Président Abdoulaye Wade) ? Acculé, le pouvoir Macky Sall a senti la pression médiatique venant d’une presse étrangère incontrôlable – qui pourrait – sans doute gêner et mettre mal à l’aise le régime.
Macky Sall enrôle Jeune Afrique avec l’appui de missi dominici qui ont manœuvré. Sans répit. Vite la donné change et la Présidence sénégalaise change de fusil d’épaule.
La Lettre de spoliation des coffres d’Oumar Youm agace...
Le spécial de 22 pages sur le SENEGAL cache bien un profond malaise auprès de certains directeurs généraux de sociétés nationales. Muni du quitus du palais présidentiel aux allures déconcertantes, Jeune Afrique pousse les pions et sort les cartes d’un jeu favori qu’il maîtrise bien.
Le clan Danielle Ben Yahmed, égérie inamovible de la Régie publicitaire de Jeune Afrique Groupe, envoie à Dakar, la malienne Fatou Tandizn, mascotte indecrottable et guêpe commerciale redoutable, du Groupe, pour la coordination du Spécial Sénégal. La malienne Fatou Tandian, a multiplié les allers retours Paris – Dakar.
Elle s’est appuyée beaucoup sur l’onction du chef du gouvernement, Mohammed Dionne, qui lui a servi d’escalier après le coup de pouce du Directeur de cabinet. Confidentiel Afrique a appris de sources bien informées, que Jeune Afrique facturait la page pleine à 22000 Euros (soit 13 millions fcfa).
Avec une posture ostentatoire, on a servi aux DG sénégalais gérant l’argent public de signer ou de laisser, écartant toutes concessions de renégocier les tarifs astronomiques publicitaires.
Réticence et résistance
Oumar Youm, le métronome de Jeune Afrique, dans son deal de lubrificateur avec Jeune Afrique, force la main aux DG d’agences publiques et sociétés nationales. Une source autorisée proche d’un Directeur de société publique, a confirmé à Confidentiel Afrique, que vu la grille tarifaire élevée de Jeune Afrique, sa société a décidé de ne pas souscrire. A ses risques de subir la foudre du palais présidentiel.
Cette position affligeante ne dérange guère nos autorités. Et Jeune Afrique n’en a cure. En septembre 2015, le même hebdomadaire avait ramassé des billes des caisses du trésor nigérien pour la réalisation d’un Special NIGER. Grâce à la recommandation du cabinet présidentiel signé des mains du ministre Directeur de cabinet adjoint, Ibrahim Yacouba.
Lors de la livraison du numéro spécial, les autorités de Niamey ont été stupéfaites et outrées du fait de la Une que Jeune Afrique a consacrée au Spécial NIGER : Le NIGER entre deux fronts. A quand nos états prendront conscience de cette humiliation que leur infligent ces gourous marchants de presse ? Le Spécial SENEGAL de Jeune Afrique est en kiosques. Nous y reviendrons...
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