Les éléments du Gmi en poste à Ziguinchor sont fâchés. Ils dénoncent le non-paiement de leurs primes mensuelles de 75 00 francs Cfa. Celles-ci doivent être versées à chaque ayant droit tous les six mois sous forme de rappel. Mais depuis juin dernier, date de la dernière échéance, ils ne sont pas passés à la caisse.
Certains policiers interrogés par Les Échos, qui révèle l'affaire, dénoncent une double peine : non contente de leur imposer des versements semestriels, alors que les gendarmes et les militaires reçoivent les primes mensuellement, la hiérarchie n'a pas pris la peine de leur donner des explications pour ce retard.
Les éléments du Gmi concernés sont d'autant plus courroucés, selon le journal, qu'ils ont traversé la Tabaski et la Korité sans les primes en question alors que, en plus, en ce moment ils doivent faire face aux charges liées à la rentrée des classes.
"Nous demandons à nos chefs en charge de la question de résoudre le problème le plus rapidement possible pour qu'on puisse rentrer dans nos fonds", demande une des sources de Les Échos.
Certains policiers interrogés par Les Échos, qui révèle l'affaire, dénoncent une double peine : non contente de leur imposer des versements semestriels, alors que les gendarmes et les militaires reçoivent les primes mensuellement, la hiérarchie n'a pas pris la peine de leur donner des explications pour ce retard.
Les éléments du Gmi concernés sont d'autant plus courroucés, selon le journal, qu'ils ont traversé la Tabaski et la Korité sans les primes en question alors que, en plus, en ce moment ils doivent faire face aux charges liées à la rentrée des classes.
"Nous demandons à nos chefs en charge de la question de résoudre le problème le plus rapidement possible pour qu'on puisse rentrer dans nos fonds", demande une des sources de Les Échos.