Yakham Mbaye réplique vertement à ses « frères » de l’Apr
L’Ancien ministre secrétaire d’Etat à la Communication, Yakham Mbaye a sévèrement capitulé dans les cordes Farba Ngom, Abdou Mbow et Maodo Malick Mbaye. A l’origine : «leurs tirs groupés» contre le responsable de l’Alliance pour la République de Rebeuss qui a récemment démissionné du parti présidentiel.
S’attaquant d’abord à Farba Ngome, Yakham a asséné: «Quand l’éthique se lève à l’est, le griot attiré se réveille à l’ouest».
«Il fait partie des cinq personnes que j’ai informées, lorsque j’ai décidé de démissionner de l’Apr». Mais, poursuit-il «si j’ai dix ennemis, dans la vie, c’est à cause de Abdoul Mbow que les neuf ne veulent pas me voir, même en peinture», a pesté Yakham Mbaye à l’endroit du responsable apériste de Thiès.
L’Ancien ministre secrétaire d’Etat à la Communication n’a pas manqué Maodo Malick Mbaye aussi. Yakham dit ne pas comprendre que ce dernier ait pu avoir « le culot » de l’accuser de souffrir d’un manque d’éthique.« En 2014, il avait pris la décision d’aller aux élections locales sous sa propre bannière. Et quand le Président avait, à l’époque pris son téléphone pour lui demander de rengager les rangs, Maodo Malick Mbaye lui avait promis de s’exuser avant de faire volte-face », argue Yakham dans Libération.
Senenews
S’attaquant d’abord à Farba Ngome, Yakham a asséné: «Quand l’éthique se lève à l’est, le griot attiré se réveille à l’ouest».
«Il fait partie des cinq personnes que j’ai informées, lorsque j’ai décidé de démissionner de l’Apr». Mais, poursuit-il «si j’ai dix ennemis, dans la vie, c’est à cause de Abdoul Mbow que les neuf ne veulent pas me voir, même en peinture», a pesté Yakham Mbaye à l’endroit du responsable apériste de Thiès.
L’Ancien ministre secrétaire d’Etat à la Communication n’a pas manqué Maodo Malick Mbaye aussi. Yakham dit ne pas comprendre que ce dernier ait pu avoir « le culot » de l’accuser de souffrir d’un manque d’éthique.« En 2014, il avait pris la décision d’aller aux élections locales sous sa propre bannière. Et quand le Président avait, à l’époque pris son téléphone pour lui demander de rengager les rangs, Maodo Malick Mbaye lui avait promis de s’exuser avant de faire volte-face », argue Yakham dans Libération.
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