Bamba FALL et Cie pas encore sortis du tunnel. parents et Sympathisants viennent aux nouvelles.
Après un deuxième retour au parquet dans le cadre de la plainte déposée par la direction de leur parti, le maire de Médina et ses huit autres compagnons ont fait l’objet hier d’un troisième retour de parquet. Leur confrontation avec le doyen des juges hier vendredi 6 janvier 2017, s’est terminée en queue de poisson après que leurs avocats ont décidé de bouder l’audience, suite à un différend sur la question des procédures.
La pomme de discorde entre les deux parties, selon les avocats des présumés casseurs, est le refus du doyen des juges de se plier aux dispositions de l’article 5 du règlement de l’Union économique et monétaire des Etats d l’Afrique de l’Ouest (UEMOA), relatif à la présence de l’avocat dès les premières heures de l’interpellation des personnes.
Conséquence de cette divergence, les présumés casseurs de la maison du PS restent en prison pour quarante-huit heures de plus. Un long weekend que parents et souteneurs tentent d’adoucir en des visites. En effet, plus que les autres jours, la matinée de ce samedi est mouvementée du côté du commissariat central où le maire de Médina est détenu. Militants et autres sympathisants font le pied de grue au grand désespoir des policiers qui s’exaspèrent de temps à autre.
Hier vendredi, de nombreux jeunes sont descendus dans les rues de la Médina pour étaler leur colère et exiger la libération de ce qu’ils appellent « otages politiques ».
WALFnet
Après un deuxième retour au parquet dans le cadre de la plainte déposée par la direction de leur parti, le maire de Médina et ses huit autres compagnons ont fait l’objet hier d’un troisième retour de parquet. Leur confrontation avec le doyen des juges hier vendredi 6 janvier 2017, s’est terminée en queue de poisson après que leurs avocats ont décidé de bouder l’audience, suite à un différend sur la question des procédures.
La pomme de discorde entre les deux parties, selon les avocats des présumés casseurs, est le refus du doyen des juges de se plier aux dispositions de l’article 5 du règlement de l’Union économique et monétaire des Etats d l’Afrique de l’Ouest (UEMOA), relatif à la présence de l’avocat dès les premières heures de l’interpellation des personnes.
Conséquence de cette divergence, les présumés casseurs de la maison du PS restent en prison pour quarante-huit heures de plus. Un long weekend que parents et souteneurs tentent d’adoucir en des visites. En effet, plus que les autres jours, la matinée de ce samedi est mouvementée du côté du commissariat central où le maire de Médina est détenu. Militants et autres sympathisants font le pied de grue au grand désespoir des policiers qui s’exaspèrent de temps à autre.
Hier vendredi, de nombreux jeunes sont descendus dans les rues de la Médina pour étaler leur colère et exiger la libération de ce qu’ils appellent « otages politiques ».
WALFnet