Loin de ces tonneaux vides qui font trop de bruit, elle ne s'affiche pas trop en public, mais dakarposte tient qu'elle est l'une des figures phares de la presse Sénégalaise. Mame Khary Ndao est dotée d'une belle plume "machallah". La bonne dame est décrite, assez cultivée, dotée de son propre style avec un sens inné de la description qui fait mouche.
Soeur de notre confrère Malick Ndao de Sud Com', Mame Khary sait prendre quelques libertés avec la réalité, qu’elle sait rendre palpitante. Loin de lui tresser des lauriers, mais ces papiers, parus dans la presse en ligne, sont des régals pour les yeux.
Il nous revient que "fouineuse sans en donner l'air" Mame Khary sait faire preuve d'une imposante capacité de travail et de synthèse, "juste pour informer juste et vrai".
Très figée sur ses principes, il est quasi difficile de la contourner sur ses croyances, convictions et décisions. Autrement dit, Mame Khary a un attachement obstiné à ses principes, opinions et décisions.
Présentée comme une casanière discrète, mais "yé vivé", elle a cependant complètement disparue du paysage médiatique.
Petite fille de l'illustre Ibrahima Seydou Ndao, elle n'a donc pas usurpé ses prédispositions.
Qui est Ibahima Seydou Ndao?
Imaginez un Sénégalais, né en 1889 et mort en 1969. Il est citoyen français, mais ne fait pas de longues études. Soldat de la Grande Guerre et journaliste talentueux, il se fait le défenseur des paysans ; ses critiques acérées n’épargnent ni les administrateurs, ni les maisons de commerce, ni les chefs locaux. Traqué par le régime collaborateur de Vichy, il est, après 1945, le faiseur des hommes politiques, dont Léopold Sédar Senghor. Premier président de l’Assemblée Territoriale dès 1952, il va mourir dans la misère, abandonné de tous ! C’est la figure exceptionnelle d’Ibrahima Seydou Ndaw ressuscitée par l’historien Abdoul Sow qui, du même coup, dévoile la terrible figure cachée de Léopold Sédar Senghor ! (A. Sow «Ibrahima Seydou Ndaw. Essai d’histoire politique du Sénégal», Dakar-Paris, L’Harmattan).
Soeur de notre confrère Malick Ndao de Sud Com', Mame Khary sait prendre quelques libertés avec la réalité, qu’elle sait rendre palpitante. Loin de lui tresser des lauriers, mais ces papiers, parus dans la presse en ligne, sont des régals pour les yeux.
Il nous revient que "fouineuse sans en donner l'air" Mame Khary sait faire preuve d'une imposante capacité de travail et de synthèse, "juste pour informer juste et vrai".
Très figée sur ses principes, il est quasi difficile de la contourner sur ses croyances, convictions et décisions. Autrement dit, Mame Khary a un attachement obstiné à ses principes, opinions et décisions.
Présentée comme une casanière discrète, mais "yé vivé", elle a cependant complètement disparue du paysage médiatique.
Petite fille de l'illustre Ibrahima Seydou Ndao, elle n'a donc pas usurpé ses prédispositions.
Qui est Ibahima Seydou Ndao?
Imaginez un Sénégalais, né en 1889 et mort en 1969. Il est citoyen français, mais ne fait pas de longues études. Soldat de la Grande Guerre et journaliste talentueux, il se fait le défenseur des paysans ; ses critiques acérées n’épargnent ni les administrateurs, ni les maisons de commerce, ni les chefs locaux. Traqué par le régime collaborateur de Vichy, il est, après 1945, le faiseur des hommes politiques, dont Léopold Sédar Senghor. Premier président de l’Assemblée Territoriale dès 1952, il va mourir dans la misère, abandonné de tous ! C’est la figure exceptionnelle d’Ibrahima Seydou Ndaw ressuscitée par l’historien Abdoul Sow qui, du même coup, dévoile la terrible figure cachée de Léopold Sédar Senghor ! (A. Sow «Ibrahima Seydou Ndaw. Essai d’histoire politique du Sénégal», Dakar-Paris, L’Harmattan).