Avec la "Vision Sénégal 2050" présentée ce lundi au Centre international de conférence Abdou Diouf (Cicad) de Diamniadio, des changements notables vont intervenir sur les piliers de l’économie sénégalaise. Sous la présidence de Bassirou Diomaye Faye, le Premier ministre Ousmane Sonko et des experts ont dévoilé les contours du « Projet ». Il s’agit pour les industries extractives de la mise en place de pôles industriels à Matam pour transformer le phosphate, par exemple ; de la création d’une nouvelle économie touristique marquée par l’objectif de créer un demi-million d’emplois ; ou bien encore la révolution numérique sénégalaise, entre autres.
Ces choix font partie du nouveau paradigme voulu par les nouvelles autorités sénégalaises. C’est un nouveau modèle de développement. Il n’est plus porté par un Etat qui fait tout et qui s’endette. Cap est désormais mis sur un Etat stratège avec un secteur privé national fort, un développement endogène et la définition d’un pacte national entre ceux qui gouvernent et les citoyens.
Ainsi le Sénégal projette d’atteindre, pour les 25 prochaines années, une croissance moyenne minimale de 6,5% par an qui le positionne, en 2050, avec plus de 4500 dollars par habitant dans une nouvelle catégorie des pays à revenu intermédiaire supérieur.
Ces choix font partie du nouveau paradigme voulu par les nouvelles autorités sénégalaises. C’est un nouveau modèle de développement. Il n’est plus porté par un Etat qui fait tout et qui s’endette. Cap est désormais mis sur un Etat stratège avec un secteur privé national fort, un développement endogène et la définition d’un pacte national entre ceux qui gouvernent et les citoyens.
Ainsi le Sénégal projette d’atteindre, pour les 25 prochaines années, une croissance moyenne minimale de 6,5% par an qui le positionne, en 2050, avec plus de 4500 dollars par habitant dans une nouvelle catégorie des pays à revenu intermédiaire supérieur.