En 2018, le carburant risque de connaitre une hausse si l’on suit la tendance haussière du prix du baril de pétrole au niveau international.
En effet, le prix du Brent est passé de 44 Dollars à 60,5 Dollars.
Et l’Etat qui casquait 75 milliards de francs Cfa par an ne pourra plus supporter le différentiel pour maintenir l’équilibre.
En effet, selon le journal « Sud Quotidien », lu par Actunet.net, en février 2016, le baril était au plus bas à 44 dollars entrainant une baisse du prix du carburant à la pompe.
A l’époque, le prix du litre du gazoil est passé de 640 à 595 francs Cfa alors que le super qui était 785 FCfa a chuté à 695 francs Cfa.
Selon une source du journal, au fait des questions du pétrole, à partir de 65 dollars le baril, l’Etat sera obligé de lâcher ses brides.
Toutefois, cela ne devrait pas intervenir avent 2018 d’autant plus que la situation des prix n’est pas régulièrement faite par le Comité national des Hydrocarbures censé de réunir mensuellement pour décider d’une baisse ou d’une hausse en fonction du coût mondial.
En effet, le prix du Brent est passé de 44 Dollars à 60,5 Dollars.
Et l’Etat qui casquait 75 milliards de francs Cfa par an ne pourra plus supporter le différentiel pour maintenir l’équilibre.
En effet, selon le journal « Sud Quotidien », lu par Actunet.net, en février 2016, le baril était au plus bas à 44 dollars entrainant une baisse du prix du carburant à la pompe.
A l’époque, le prix du litre du gazoil est passé de 640 à 595 francs Cfa alors que le super qui était 785 FCfa a chuté à 695 francs Cfa.
Selon une source du journal, au fait des questions du pétrole, à partir de 65 dollars le baril, l’Etat sera obligé de lâcher ses brides.
Toutefois, cela ne devrait pas intervenir avent 2018 d’autant plus que la situation des prix n’est pas régulièrement faite par le Comité national des Hydrocarbures censé de réunir mensuellement pour décider d’une baisse ou d’une hausse en fonction du coût mondial.