Les personnes suspectées d’avoir jeté des pierres sur le cortège du Président Macky Sall, vendredi dernier, au campus social de l’Ucad, peuvent se faire du souci. Si certaines ont déjà été arrêtées et placées en garde à vue, d’autres sont dans le viseur des enquêteurs.
En sus des trois étudiants gardés à vue dans les locaux du Commissariat central de Dakar, d’autres personnes sont déjà pistées. Des cadres de l’administration de la Police confient qu’une vingtaine de personnes sont sur la liste dressée par les enquêteurs. Selon L’Obs, ces jeunes ont été perdus par les images des caméras. La hiérarchie policière a réquisitionné des caméras ayant filmé les scènes de violence dans le campus. Des informations recueillies par le journal du Groupe futurs médias (Gfm), certains ont même été identifiés. Les éléments de la Police sont en train de procéder aux recoupements pour décliner leur identité et connaître leurs adresses.
Il faut dire que la gestion de cette affaire est très suivie au sommet de l’Etat. Déjà, l’on souffle que les autorités ont opté pour la répression des actes commis vendredi dernier. Le souci est d’éviter que ces incidents soient répétés. Même si l’enquête n’est pas totalement bouclée, l’on annonce déjà que les délits qui risquent d’être retenus contre ces suspects vont dans le sens de corser le dossier. Un procès en flagrant délit ou en correctionnel est, pour le moment, totalement exclu, compte tenu de la gravité des faits.
Avec Leral
En sus des trois étudiants gardés à vue dans les locaux du Commissariat central de Dakar, d’autres personnes sont déjà pistées. Des cadres de l’administration de la Police confient qu’une vingtaine de personnes sont sur la liste dressée par les enquêteurs. Selon L’Obs, ces jeunes ont été perdus par les images des caméras. La hiérarchie policière a réquisitionné des caméras ayant filmé les scènes de violence dans le campus. Des informations recueillies par le journal du Groupe futurs médias (Gfm), certains ont même été identifiés. Les éléments de la Police sont en train de procéder aux recoupements pour décliner leur identité et connaître leurs adresses.
Il faut dire que la gestion de cette affaire est très suivie au sommet de l’Etat. Déjà, l’on souffle que les autorités ont opté pour la répression des actes commis vendredi dernier. Le souci est d’éviter que ces incidents soient répétés. Même si l’enquête n’est pas totalement bouclée, l’on annonce déjà que les délits qui risquent d’être retenus contre ces suspects vont dans le sens de corser le dossier. Un procès en flagrant délit ou en correctionnel est, pour le moment, totalement exclu, compte tenu de la gravité des faits.
Avec Leral