La coupe abusive et illégale du bois de teck dans la forêt de Bourofaye pourrait bien être la cause de la tuerie, samedi dernier, de 13 personnes.
Selon des sources du journal Enquête, les premières conclusions de l’enquête tendent vers cette thèse. « Ce sont des représailles des rebelles », confie la source. Laquelle parle d’un accrochage entre « parents de rebelles partis chercher du bois dans la forêt et les brigades vertes chargées de la protection des végétaux ».
La source du journal assure que cette attaque n’est pas une manifestation du conflit armé. « On ne s’en est pas pris au processus de paix en tant que tel ». Car, l’accord entre les bandes armées et les forces armées sénégalaises sur la coupe du bois abusive a fait qu’il n’y ait pas de bagarres militaires dans les fronts sud et sud-est, respectivement dirigés par César Atoute Badiatte et Ousmane Niantang. Le Mfdc qui récuse les accusations portées contre lui, privilégie également la piste du trafic illégal de bois. « C’est à ce niveau que devrait se dérouler l’enquête. Il faut chercher l’origine du mal plutôt que d’épiloguer sur ses conséquences à travers de fausses accusations contre le Mfdc », fustige le mouvement dans un communiqué relayé sur le site le Journal du pays.
Pour montrer sa bonne foi, le Mfdc assure que « sa dynamique d’ouverture au dialogue en faveur d’une issue heureuse au conflit casamançais et ne se laissera pas distraire, ni désorienter par les fossoyeurs de la paix et les autorités et chefs de service régionaux qui ne visent rien d’autre que de casser la dynamique de paix afin de pouvoir mieux vivre du conflit ».
Selon des sources du journal Enquête, les premières conclusions de l’enquête tendent vers cette thèse. « Ce sont des représailles des rebelles », confie la source. Laquelle parle d’un accrochage entre « parents de rebelles partis chercher du bois dans la forêt et les brigades vertes chargées de la protection des végétaux ».
La source du journal assure que cette attaque n’est pas une manifestation du conflit armé. « On ne s’en est pas pris au processus de paix en tant que tel ». Car, l’accord entre les bandes armées et les forces armées sénégalaises sur la coupe du bois abusive a fait qu’il n’y ait pas de bagarres militaires dans les fronts sud et sud-est, respectivement dirigés par César Atoute Badiatte et Ousmane Niantang. Le Mfdc qui récuse les accusations portées contre lui, privilégie également la piste du trafic illégal de bois. « C’est à ce niveau que devrait se dérouler l’enquête. Il faut chercher l’origine du mal plutôt que d’épiloguer sur ses conséquences à travers de fausses accusations contre le Mfdc », fustige le mouvement dans un communiqué relayé sur le site le Journal du pays.
Pour montrer sa bonne foi, le Mfdc assure que « sa dynamique d’ouverture au dialogue en faveur d’une issue heureuse au conflit casamançais et ne se laissera pas distraire, ni désorienter par les fossoyeurs de la paix et les autorités et chefs de service régionaux qui ne visent rien d’autre que de casser la dynamique de paix afin de pouvoir mieux vivre du conflit ».