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Une distinction hautement panafricaine pour le tandem Diomaye-Sonko, symbole de la résistance et de luttes démocratiques dans un contexte politique ouest-africain, très inquiétant. L'attribution du trophée Myriam Makeba à tout son pesant d'or, car "elle érige de facto le tandem Diomaye-Sonko comme modèle à une jeunesse africaine souvent désenchantée par la politicaillerie, que l'espoir est permis de voir le vent de la démocratie soufflé" martèle le patriarche.
À peine arrivé dans ce restaurant qui ne désemplissait guère à quelques encablures de la mythique gare de Lyon avec une température estivale.
La touffe poivrée, se voyait au fond du restaurant, le regard perçant, s'entourait de compatriotes qui piaffent de le voir pour certains, tandis que d'autres sollicitent des photos avec le "sauveur du projet", lance un patriote pendant les échanges de civilités.
Me Clédor Ly s'y était déplacé pour voir le doyen Lanciné Camara, le président de l'Union internationale des journalistes africains (UIJA), qui a décerné le trophée Myriam Makeba à Ousmane Sonko et certainement d'autres compatriotes qui souhaitaient le voir pour diverses raisons.
À peine qu'il termine son assiette soft, l'avocat de Sonko et des grandes causes se voyait invité à prendre des photos sous le regard de clients qui se posaient des questions indubitablement sur cette personnalité du Temple de Thémis admirativement, sollicitée par les compatriotes.
Il prenait ses aises comme dans ses plaidoiries à écouter, noter et répondre à ses interlocuteurs et interlocutrices qui acquiescent en guise de contentement et se pressent à l'interpeller sur divers sujets devant le patriarche Lanciné Camara admiratif de la placidité du "grand avocat"Mon cher Maître,
L'UIJA est heureuse de voir en vous un socle Juridique qui a contribué grandement à sauver le Sénégal et à montrer la voie aux autres pays d'Afrique, en ravivant par vos actions le message véhiculé par MYRIAM MAKEBA, CHeikh ANTA DIOP, Mamadou DIA, et bien entendu le grand Nelson MANDELA
À peine arrivé dans ce restaurant qui ne désemplissait guère à quelques encablures de la mythique gare de Lyon avec une température estivale.
La touffe poivrée, se voyait au fond du restaurant, le regard perçant, s'entourait de compatriotes qui piaffent de le voir pour certains, tandis que d'autres sollicitent des photos avec le "sauveur du projet", lance un patriote pendant les échanges de civilités.
Me Clédor Ly s'y était déplacé pour voir le doyen Lanciné Camara, le président de l'Union internationale des journalistes africains (UIJA), qui a décerné le trophée Myriam Makeba à Ousmane Sonko et certainement d'autres compatriotes qui souhaitaient le voir pour diverses raisons.
À peine qu'il termine son assiette soft, l'avocat de Sonko et des grandes causes se voyait invité à prendre des photos sous le regard de clients qui se posaient des questions indubitablement sur cette personnalité du Temple de Thémis admirativement, sollicitée par les compatriotes.
Il prenait ses aises comme dans ses plaidoiries à écouter, noter et répondre à ses interlocuteurs et interlocutrices qui acquiescent en guise de contentement et se pressent à l'interpeller sur divers sujets devant le patriarche Lanciné Camara admiratif de la placidité du "grand avocat"Mon cher Maître,
L'UIJA est heureuse de voir en vous un socle Juridique qui a contribué grandement à sauver le Sénégal et à montrer la voie aux autres pays d'Afrique, en ravivant par vos actions le message véhiculé par MYRIAM MAKEBA, CHeikh ANTA DIOP, Mamadou DIA, et bien entendu le grand Nelson MANDELA