Trois suspects ont été arrêtés, vendredi 25 mars, à Bruxelles, en lien avec le projet d'attentat en France déjoué la veille, selon le parquet fédéral belge. Deux des trois personnes ont été blessées à la jambe lors de leur arrestation, détaille le communiqué du parquet : l’un vendredi matin à Forest et l’autre vendredi après-midi à Schaerbeek. Le troisième suspect, qui n’a pas été blessé, a été arrêté vendredi matin à Saint-Gilles.
Ces opérations antiterroristes sont liées à l'arrestation de Reda Kriket, 34 ans, interpellé jeudi en région parisienne pour un projet d'attentat en France, selon des sources policières. Plusieurs fusils d'assaut, dont des Kalachnikov, et des explosifs, dont du TATP, ont été retrouvés dans un appartement qu'il occupait.
Reda Kriket fait partie de la mouvance du prédicateur bruxellois Khalid Zerkani, tout comme Abdelhamid Abaaoud, organisateur présumé des attaques de Paris, ou encore Najim Laachraoui, mort en kamikaze à l'aéroport de Bruxelles. Actuellement emprisonné, Zerkani, 41 ans, est décrit par la justice belge comme le "plus grand recruteur" de jihadistes en Belgique.
"Il y a d'autres réseaux"
Depuis l’Élysée où il recevait l’ancien président israélien Shimon Peres, le président de la République française a reconnu que des avancées avaient été faites mais a toutefois mis en garde. "Nous savons qu'il y a d'autres réseaux. Même si celui qui a commis les attentats de Paris et de Bruxelles est en voie d'être anéanti, il y a toujours une menace qui pèse", a déclaré François Hollande.
Trois suspects ont été arrêtés, vendredi après-midi, dans la commune de Schaerbeek, à Bruxelles, lors d'une opération antiterroriste liée à l'enquête sur le projet d'attentat en France déjoué la veille.
Trois suspects ont été arrêtés, vendredi 25 mars, à Bruxelles, en lien avec le projet d'attentat en France déjoué la veille, selon le parquet fédéral belge. Deux des trois personnes ont été blessées à la jambe lors de leur arrestation, détaille le communiqué du parquet : l’un vendredi matin à Forest et l’autre vendredi après-midi à Schaerbeek. Le troisième suspect, qui n’a pas été blessé, a été arrêté vendredi matin à Saint-Gilles.
Ces opérations antiterroristes sont liées à l'arrestation de Reda Kriket, 34 ans, interpellé jeudi en région parisienne pour un projet d'attentat en France, selon des sources policières. Plusieurs fusils d'assaut, dont des Kalachnikov, et des explosifs, dont du TATP, ont été retrouvés dans un appartement qu'il occupait.
Reda Kriket fait partie de la mouvance du prédicateur bruxellois Khalid Zerkani, tout comme Abdelhamid Abaaoud, organisateur présumé des attaques de Paris, ou encore Najim Laachraoui, mort en kamikaze à l'aéroport de Bruxelles. Actuellement emprisonné, Zerkani, 41 ans, est décrit par la justice belge comme le "plus grand recruteur" de jihadistes en Belgique.
"Il y a d'autres réseaux"
Depuis l’Élysée où il recevait l’ancien président israélien Shimon Peres, le président de la République française a reconnu que des avancées avaient été faites mais a toutefois mis en garde. "Nous savons qu'il y a d'autres réseaux. Même si celui qui a commis les attentats de Paris et de Bruxelles est en voie d'être anéanti, il y a toujours une menace qui pèse", a déclaré François Hollande.
Si les deux arrestations de vendredi matin se sont déroulées dans la discrétion, celle de Schaerbeek a eu lieu devant de nombreux témoins. Les alentours de la place Meiser étaient complètement barrés, un large périmètre de sécurité a été établi, et la circulation du tramway a été interrompue, a ainsi constaté un journaliste de l'AFP sur place.
Une jeune femme a expliqué à l'AFP avoir "vu le Dovo (services de déminage) arriver". "Un peu plus tard il y a eu une explosion, vers la place. Il y a aussi eu une ambulance", a-t-elle raconté. Le bourgmestre a expliqué que de "petites explosions" se sont produites "liées à des opérations de déminage".
Au moins deux hommes repérés sur des images de vidéosurveillance traqués
Ces opérations interviennent en pleine visite du secrétaire d'État américain John Kerry dans la capitale belge frappée par des attentats qui ont fait 31 morts et 300 blessés mardi à l'aéroport international et dans le métro de Bruxelles.
John Kerry était vendredi en début d'après-midi à l'aéroport de Bruxelles pour participer à une cérémonie en hommage aux victimes, sans le Premier ministre Charles Michel, qui a dû annuler sa venue en raison de l'intervention policière en cours.
La police continue de traquer au moins deux hommes repérés sur des images de vidéosurveillance aux côtés des trois kamikazes qui ont semé mardi la mort à l'aéroport de Bruxelles et à la station de métro de Maelbeek.
Six personnes ont par ailleurs été arrêtées dans la nuit de jeudi à vendredi à Bruxelles dans le cadre de l'enquête sur les attentats de mardi. Parmi ces personnes, trois ont été remises en liberté par le juge d’instruction spécialisé en matière de terrorisme, a annoncé le parquet de Bruxelles.
Ces opérations antiterroristes sont liées à l'arrestation de Reda Kriket, 34 ans, interpellé jeudi en région parisienne pour un projet d'attentat en France, selon des sources policières. Plusieurs fusils d'assaut, dont des Kalachnikov, et des explosifs, dont du TATP, ont été retrouvés dans un appartement qu'il occupait.
Reda Kriket fait partie de la mouvance du prédicateur bruxellois Khalid Zerkani, tout comme Abdelhamid Abaaoud, organisateur présumé des attaques de Paris, ou encore Najim Laachraoui, mort en kamikaze à l'aéroport de Bruxelles. Actuellement emprisonné, Zerkani, 41 ans, est décrit par la justice belge comme le "plus grand recruteur" de jihadistes en Belgique.
"Il y a d'autres réseaux"
Depuis l’Élysée où il recevait l’ancien président israélien Shimon Peres, le président de la République française a reconnu que des avancées avaient été faites mais a toutefois mis en garde. "Nous savons qu'il y a d'autres réseaux. Même si celui qui a commis les attentats de Paris et de Bruxelles est en voie d'être anéanti, il y a toujours une menace qui pèse", a déclaré François Hollande.
Trois suspects ont été arrêtés, vendredi après-midi, dans la commune de Schaerbeek, à Bruxelles, lors d'une opération antiterroriste liée à l'enquête sur le projet d'attentat en France déjoué la veille.
Trois suspects ont été arrêtés, vendredi 25 mars, à Bruxelles, en lien avec le projet d'attentat en France déjoué la veille, selon le parquet fédéral belge. Deux des trois personnes ont été blessées à la jambe lors de leur arrestation, détaille le communiqué du parquet : l’un vendredi matin à Forest et l’autre vendredi après-midi à Schaerbeek. Le troisième suspect, qui n’a pas été blessé, a été arrêté vendredi matin à Saint-Gilles.
Ces opérations antiterroristes sont liées à l'arrestation de Reda Kriket, 34 ans, interpellé jeudi en région parisienne pour un projet d'attentat en France, selon des sources policières. Plusieurs fusils d'assaut, dont des Kalachnikov, et des explosifs, dont du TATP, ont été retrouvés dans un appartement qu'il occupait.
Reda Kriket fait partie de la mouvance du prédicateur bruxellois Khalid Zerkani, tout comme Abdelhamid Abaaoud, organisateur présumé des attaques de Paris, ou encore Najim Laachraoui, mort en kamikaze à l'aéroport de Bruxelles. Actuellement emprisonné, Zerkani, 41 ans, est décrit par la justice belge comme le "plus grand recruteur" de jihadistes en Belgique.
"Il y a d'autres réseaux"
Depuis l’Élysée où il recevait l’ancien président israélien Shimon Peres, le président de la République française a reconnu que des avancées avaient été faites mais a toutefois mis en garde. "Nous savons qu'il y a d'autres réseaux. Même si celui qui a commis les attentats de Paris et de Bruxelles est en voie d'être anéanti, il y a toujours une menace qui pèse", a déclaré François Hollande.
Si les deux arrestations de vendredi matin se sont déroulées dans la discrétion, celle de Schaerbeek a eu lieu devant de nombreux témoins. Les alentours de la place Meiser étaient complètement barrés, un large périmètre de sécurité a été établi, et la circulation du tramway a été interrompue, a ainsi constaté un journaliste de l'AFP sur place.
Une jeune femme a expliqué à l'AFP avoir "vu le Dovo (services de déminage) arriver". "Un peu plus tard il y a eu une explosion, vers la place. Il y a aussi eu une ambulance", a-t-elle raconté. Le bourgmestre a expliqué que de "petites explosions" se sont produites "liées à des opérations de déminage".
Au moins deux hommes repérés sur des images de vidéosurveillance traqués
Ces opérations interviennent en pleine visite du secrétaire d'État américain John Kerry dans la capitale belge frappée par des attentats qui ont fait 31 morts et 300 blessés mardi à l'aéroport international et dans le métro de Bruxelles.
John Kerry était vendredi en début d'après-midi à l'aéroport de Bruxelles pour participer à une cérémonie en hommage aux victimes, sans le Premier ministre Charles Michel, qui a dû annuler sa venue en raison de l'intervention policière en cours.
La police continue de traquer au moins deux hommes repérés sur des images de vidéosurveillance aux côtés des trois kamikazes qui ont semé mardi la mort à l'aéroport de Bruxelles et à la station de métro de Maelbeek.
Six personnes ont par ailleurs été arrêtées dans la nuit de jeudi à vendredi à Bruxelles dans le cadre de l'enquête sur les attentats de mardi. Parmi ces personnes, trois ont été remises en liberté par le juge d’instruction spécialisé en matière de terrorisme, a annoncé le parquet de Bruxelles.