La Division des investigations criminelles (Dic) a mis à la disposition du Parquet de Dakar 5 individus de nationalités différentes dont une dame. Un commerçant gambien du nom de M. O. Diarra a été le premier à tomber. Il été appréhendé, selon EnQuête, aux alentours de l'aéroport Léopold Sédar Senghor, dans la nuit du 05 juin dernier. D'après le journal, les policiers avaient reçu l'information selon laquelle la mise en cause appartient à un réseau de faussaires spécialisés dans la confection de faux documents de voyage. C'est en exploitant ce renseignement que les policiers ont fini par l'appréhender. Le sieur Diarra, domicilié à Thiaroye sur mer, détenait, quant à lui, un visa brésilien, deux permis de séjour espagnol ainsi que des passeports avec des noms étrangers et sénégalais.
Interrogé sur l'origine des documents, d'autant plus que les policiers se sont rendu compte qu'ils étaient tous faux, Diarra a tenté de faire croire à ses interlocuteurs qu'il n'est qu'un simple intermédiaire et ignore à qui les documents sont destinés. Il a dit qu'un certain Sène, basé en Gambie, lui a remis les documents pour qu'il les donne à un certain Abdou Diouf. Toutefois, il a reconnu avoir reçu du sieur Sène une commission de 250 000 FCfa. En poussant leurs investigations, les éléments de la Dic ont découvert que le Gambien était plus qu'un intermédiaire et qu'il avait l'habitude de recevoir, via Dhl, des colis venant du Nigeria. Il se trouve que l'un d'eux était constitué de faux documents confectionnés au Nigeria avant d'être expédiés au Sénégal. C'est pourquoi la Dic poursuit son enquête pour arrêter les autres membres de la bande.
Interrogé sur l'origine des documents, d'autant plus que les policiers se sont rendu compte qu'ils étaient tous faux, Diarra a tenté de faire croire à ses interlocuteurs qu'il n'est qu'un simple intermédiaire et ignore à qui les documents sont destinés. Il a dit qu'un certain Sène, basé en Gambie, lui a remis les documents pour qu'il les donne à un certain Abdou Diouf. Toutefois, il a reconnu avoir reçu du sieur Sène une commission de 250 000 FCfa. En poussant leurs investigations, les éléments de la Dic ont découvert que le Gambien était plus qu'un intermédiaire et qu'il avait l'habitude de recevoir, via Dhl, des colis venant du Nigeria. Il se trouve que l'un d'eux était constitué de faux documents confectionnés au Nigeria avant d'être expédiés au Sénégal. C'est pourquoi la Dic poursuit son enquête pour arrêter les autres membres de la bande.