Thione Seck se considère comme une victime dans l’affaire de faux billets jugée ce jeudi devant le tribunal correctionnel. Le chanteur a expliqué à la barre comment il est entré en procession de l’argent contrefait. « C'est un certain Joachim Cissé qui m'a apporté le sac rempli d'argent. Quand les gendarmes sont arrivés , j'ai eu peur et je me suis assis sur le sac de billets Je me rappelle, il m'avait proposé une tournée européenne avec 105 dates et je devais animer une série de concerts. C’est 24 heures avant de voir mon avocat pour la signature du contrat qu'on m'a pris les 85 millions. Je le dis et je le répète, j’ai été escroqué », a réaffirmé le prévenu.
L’auteur compositeur a nié les faits qui lui sont reprochés à l'ouverture du procès aujourd'hui devant le tribunal correctionnel de Dakar. Le chanteur a réitéré ses déclarations de l’enquête préliminaire, disant qu’ « une cabale qui a été montée pour ternir son image ». Il a encore clamé son innocence, niant qu’il y avait une entente préalable en vue de blanchir du capital ou trafiquer des faux billets. « Je n'avais jamais pensé qu'un jour je serai devant un juge pour ces faits. Les gendarmes n'ont pas dit la vérité », regrette Thione Seck.
La seule question que les pandores lui ont demandé, dit-il, est s’il connaissait Alay Djité. « Si je savais que c'était des faux billets la gendarmerie ne m'attraperait jamais. Quand les gendarmes sont arrivés , j'ai eu peur et je me suis assis sur le sac de billets
L’auteur compositeur a nié les faits qui lui sont reprochés à l'ouverture du procès aujourd'hui devant le tribunal correctionnel de Dakar. Le chanteur a réitéré ses déclarations de l’enquête préliminaire, disant qu’ « une cabale qui a été montée pour ternir son image ». Il a encore clamé son innocence, niant qu’il y avait une entente préalable en vue de blanchir du capital ou trafiquer des faux billets. « Je n'avais jamais pensé qu'un jour je serai devant un juge pour ces faits. Les gendarmes n'ont pas dit la vérité », regrette Thione Seck.
La seule question que les pandores lui ont demandé, dit-il, est s’il connaissait Alay Djité. « Si je savais que c'était des faux billets la gendarmerie ne m'attraperait jamais. Quand les gendarmes sont arrivés , j'ai eu peur et je me suis assis sur le sac de billets