Thierno Bocoum : “les raisons qui empêcheront l’examen de la loi aujourd’hui…”
Non investi sur les listes électorales en marge des Législatives par «Mankoo Taxawu Senegaal», le porte-parole du parti Rewmi semble avoir déjà avalé la pilule. Dans une interview du journal EnQuête, Thierno Bocoum s’intéresse plutôt au projet de loi portant modification de l’article L 78 du code électoral.
Ce projet doit normalement être examiné par les parlementaires aujourd’hui, en session extraordinaire. Sur ce, le député de Rewmi n’y croit pas. « La loi ne peut pas être examinée aujourd’hui », soutient-il.
La raison est toute simple. Puisqu’il s’agit d’une session extraordinaire, il existe certains trucs qu’il faudrait au préalable vérifier avant de s’y lancer. «Il faudrait d’abord constater le quorum représentant la moitié plus un des membres composant l’Assemblée nationale. Ensuite, que le bureau de l’Assemblée se réunisse puis la conférence des présidents qui doit établir le calendrier des travaux en commission et en plénière », lâche M. Bocoum dans les colonnes du journal EnQuête.
Voilà entres autres les raisons qui risquent de compromettre l’examen dudit projet de loi ce matin, à l’Assemblée nationale.
Dans quelques heures seulement et la population sera édifiée sur son sort.
Actusen
Ce projet doit normalement être examiné par les parlementaires aujourd’hui, en session extraordinaire. Sur ce, le député de Rewmi n’y croit pas. « La loi ne peut pas être examinée aujourd’hui », soutient-il.
La raison est toute simple. Puisqu’il s’agit d’une session extraordinaire, il existe certains trucs qu’il faudrait au préalable vérifier avant de s’y lancer. «Il faudrait d’abord constater le quorum représentant la moitié plus un des membres composant l’Assemblée nationale. Ensuite, que le bureau de l’Assemblée se réunisse puis la conférence des présidents qui doit établir le calendrier des travaux en commission et en plénière », lâche M. Bocoum dans les colonnes du journal EnQuête.
Voilà entres autres les raisons qui risquent de compromettre l’examen dudit projet de loi ce matin, à l’Assemblée nationale.
Dans quelques heures seulement et la population sera édifiée sur son sort.
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