demeure dans le PDS, mais je dis qu'en politique, c'est le critère de la représentativité qui doit prévaloir. Les tenants des listes ont l'obligation de voir les plus représentatifs pour les investir si'ils veulent que le parti gagne des élections", a soutenu Aïda Mbodj. à Yeumbeul-sud où elle était allée rendre visite à des militants de son mouvement.
Aux militants qui veulent l'investir comme candidate en 2019, Aïda Mbodj rétorque, "c'est leur droit mais le moment venu, on appréciera. Parce que moi, j'ai l'habitude de dire que la noblesse en politique, c'est la représentativité. Si les militants qui ont opté pour m'accompagner, se sentent outillés, forts, représentatifs pour briguer les suffrages des Sénégalais, je n'y vois pas d'inconvénient".
La présidente du groupe parlementaire des libéraux à l'Assemblée Nationale a par ailleurs dénoncé la politisation des financements alloués par l'Etat du Sénégal aux femmes. Selon elle, "les financements destinés aux femmes n'ont pas été équitables parce que certaines d'entre elles ont été laissées en rade. Nous l'avons déploré, il y a une discrimination au niveau des financements, et c'est grave". Car selon Aïda Mbodj, "c'est le service du développement communautaire qui doit monter au créneau pour encadrer les femmes mais tel n'est pas le cas. C'est la carte marron-beige qu'on fait prévaloir pour accéder à des financements. Pis encore, des financements se donnent en numéraire alors que c'est le trésor public ou la banque de crédit agricole qu'on doit mettre en amont dans les financements", s'insurge-t-elle encore.
source: walfquotidien
Aux militants qui veulent l'investir comme candidate en 2019, Aïda Mbodj rétorque, "c'est leur droit mais le moment venu, on appréciera. Parce que moi, j'ai l'habitude de dire que la noblesse en politique, c'est la représentativité. Si les militants qui ont opté pour m'accompagner, se sentent outillés, forts, représentatifs pour briguer les suffrages des Sénégalais, je n'y vois pas d'inconvénient".
La présidente du groupe parlementaire des libéraux à l'Assemblée Nationale a par ailleurs dénoncé la politisation des financements alloués par l'Etat du Sénégal aux femmes. Selon elle, "les financements destinés aux femmes n'ont pas été équitables parce que certaines d'entre elles ont été laissées en rade. Nous l'avons déploré, il y a une discrimination au niveau des financements, et c'est grave". Car selon Aïda Mbodj, "c'est le service du développement communautaire qui doit monter au créneau pour encadrer les femmes mais tel n'est pas le cas. C'est la carte marron-beige qu'on fait prévaloir pour accéder à des financements. Pis encore, des financements se donnent en numéraire alors que c'est le trésor public ou la banque de crédit agricole qu'on doit mettre en amont dans les financements", s'insurge-t-elle encore.
source: walfquotidien