La récente sortie du Grand Serigne de Dakar Pape Ibrahima Diagne, sur les terres de l’Aéroport Léopold Sédar Senghor, a fait réagir le Jaraaf du Cap-Vert Youssou Ndoye. Il fait feu de tout bois. Pour lui, le Grand Serigne s’est exprimé sur un sujet qu’il ne maîtrise pas, en disant que les terres en question appartiennent à l’Asecna.
Même l’Etat, poursuit-il, est en train de faire fausse route sur cette affaire. Arborant des documents, il confirme que ses avocats vont saisir la Justice pour porter-plainte contre la France. Pour la petite histoire, Youssou Ndoye explique que ces terres ont été immatriculées au nom des Lébous, cela avant même l’avènement de l’Aéroport Lss.
Et pour pouvoir exploiter ces terres, les français avaient fait acte de réquisition au prix du Franc symbolique. Maintenant qu’elles ne sont plus utilisées, avec l’ouverture de l’Aéroport international Blaise Diagne, les terres reviennent sous la propriété de la communauté Lébou et sans remboursement. L’Etat n’a donc pas le droit de donner ces terres à une quelconque entité.
D’autant plus que, fustige toujours Youssou Ndoye, la communauté Lébou n’a jamais été associée à une discussion allant dans ce sens. « On ne nous a même pas dit merci. Le Président nous traite comme des zéro », fulmine-t-il de plus bel.
Même l’Etat, poursuit-il, est en train de faire fausse route sur cette affaire. Arborant des documents, il confirme que ses avocats vont saisir la Justice pour porter-plainte contre la France. Pour la petite histoire, Youssou Ndoye explique que ces terres ont été immatriculées au nom des Lébous, cela avant même l’avènement de l’Aéroport Lss.
Et pour pouvoir exploiter ces terres, les français avaient fait acte de réquisition au prix du Franc symbolique. Maintenant qu’elles ne sont plus utilisées, avec l’ouverture de l’Aéroport international Blaise Diagne, les terres reviennent sous la propriété de la communauté Lébou et sans remboursement. L’Etat n’a donc pas le droit de donner ces terres à une quelconque entité.
D’autant plus que, fustige toujours Youssou Ndoye, la communauté Lébou n’a jamais été associée à une discussion allant dans ce sens. « On ne nous a même pas dit merci. Le Président nous traite comme des zéro », fulmine-t-il de plus bel.