Pour Mamadou Racine Sy, « la reprise est timide mais il y’a certaines reprises que nous ne dédaignons pas. L’hôtellerie d’affaires (Dakar et certaines capitales régionales) se porte mieux que l’hôtellerie de loisirs (à l’intérieur du pays). Cette hôtellerie de loisirs souffre et c’est normal par rapport à un certain nombre de facteurs exogènes, mais quand vous allez sur la station de Saly et à l’intérieur du pays, il y’a une relance certaine qui se fait » a-t-il renchéri.
Le président du syndicat patronal de l'industrie hôtelière du Sénégal (SPIHS), se préoccupe du développement de la destination Casamance où certaines voix se lèvent pour dénoncer sa gestion. « Une destination comme la Casamance a besoin des moyens accrus et importants. Car c’est une région qui a souffert d'un certain nombre de facteurs et il faut donc un traitement spécial. Le gouvernement en a conscience. Le Chef de l’État a pris des engagements qu’il a respectés, en faisant de la Casamance, une zone touristique spéciale. Maintenant quand on pose des actes il faut un horizon de 2 et à 3 ans pour que les premiers effets se fassent sentir. Donc la patience est importante en matière d’hôtellerie et de tourisme. » Le Patron de l'hôtel King Fahd Palace, a fait cette déclaration lors du forum sectoriel des métiers de l’hôtellerie sur la formation professionnelle dual au Sénégal. «Il y’a un frémissement certain dans la relance du tourisme. Ces dernières années étaient extrêmement dures. Mais il ne faut pas que nous dormions sur nos lauriers ; la reprise est timide mais nous avons espoir», s’est réjoui M. Sy.
Maintenant, il ne faut pas penser qu’en posant des actes, le résultat se voit au bout de quelques jours. Il faut un horizon de deux à trois ans pour que les premiers effets se fassent sentir. La patience est importante en matière d’hôtellerie et de tourisme», a déclaré Mamadou Racine Sy. Il a salué la mise en place du crédit hôtelier qui a vu son plafond augmenter de manière conséquente. «Cela permettra de soutenir les investissements qui sont très lourds en matière d’hôtellerie. Ce crédit hôtelier vient à son heure. Dès lors que cela ne va pas, nous le disons, s’il y a des choses positives aussi, il faut le dire», a ajouté M.Sy
dakaractu
Le président du syndicat patronal de l'industrie hôtelière du Sénégal (SPIHS), se préoccupe du développement de la destination Casamance où certaines voix se lèvent pour dénoncer sa gestion. « Une destination comme la Casamance a besoin des moyens accrus et importants. Car c’est une région qui a souffert d'un certain nombre de facteurs et il faut donc un traitement spécial. Le gouvernement en a conscience. Le Chef de l’État a pris des engagements qu’il a respectés, en faisant de la Casamance, une zone touristique spéciale. Maintenant quand on pose des actes il faut un horizon de 2 et à 3 ans pour que les premiers effets se fassent sentir. Donc la patience est importante en matière d’hôtellerie et de tourisme. » Le Patron de l'hôtel King Fahd Palace, a fait cette déclaration lors du forum sectoriel des métiers de l’hôtellerie sur la formation professionnelle dual au Sénégal. «Il y’a un frémissement certain dans la relance du tourisme. Ces dernières années étaient extrêmement dures. Mais il ne faut pas que nous dormions sur nos lauriers ; la reprise est timide mais nous avons espoir», s’est réjoui M. Sy.
Maintenant, il ne faut pas penser qu’en posant des actes, le résultat se voit au bout de quelques jours. Il faut un horizon de deux à trois ans pour que les premiers effets se fassent sentir. La patience est importante en matière d’hôtellerie et de tourisme», a déclaré Mamadou Racine Sy. Il a salué la mise en place du crédit hôtelier qui a vu son plafond augmenter de manière conséquente. «Cela permettra de soutenir les investissements qui sont très lourds en matière d’hôtellerie. Ce crédit hôtelier vient à son heure. Dès lors que cela ne va pas, nous le disons, s’il y a des choses positives aussi, il faut le dire», a ajouté M.Sy
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