Face aux inondations récentes à Touba, l’État a mis en place six commissions pour coordonner les efforts de gestion et de soutien aux populations touchées. Cette décision a été prise lors d’une réunion du Comité de gestion des inondations à la sous-préfecture de Ndame, présidée par le sous-préfet Abdoulaye Kharma, en présence du maire Abdou Lahat Ka, du directeur de la Prévention et de la Gestion des inondations, Madické Cissé, ainsi que d’autres acteurs locaux.
Les six commissions créées sont dédiées à différents aspects de la gestion de crise : Recensement, Santé et Action sociale, Sécurité, Finances, Hydraulique, et Logistique. Ces groupes de travail ont pour mission de mettre en œuvre des solutions pour évacuer les eaux de pluie des maisons et coordonner les interventions pour minimiser l’impact des inondations sur les populations. Le recensement des sinistrés a déjà commencé, et l’armée, la gendarmerie ainsi que des volontaires sont mobilisés pour apporter leur aide sur le terrain.
Madické Cissé a souligné que la situation s’est nettement améliorée, bien que certaines zones restent encore problématiques. L’armée, la gendarmerie, et la police sont sur place pour convoyer le matériel nécessaire aux interventions, notamment des pompes à haute capacité et des électropompes fournies par des structures bénévoles. Il a également mentionné que 320 motopompes seront déployées pour évacuer l’eau, en commençant par les environs de la Grande Mosquée.
Selon M. Cissé, les précipitations ont atteint 149 mm cette année à Touba, un niveau sans précédent depuis 30 ans. Il a rappelé que les infrastructures de drainage du pays ne sont pas dimensionnées pour gérer des précipitations supérieures à 00 mm, soulignant ainsi le caractère exceptionnel de la situation.
Avant même ces inondations, le gouvernement avait déjà mis en place un fonds de réponse pour anticiper de telles crises, mais la phase de déploiement nécessite d’abord une évaluation précise du nombre de ménages touchés.
L’État reste mobilisé pour apporter une solution rapide et efficace, avec la collaboration des autorités locales et des bonnes volontés, afin de soulager au plus vite les populations impactées par ces inondations.
Rts
Les six commissions créées sont dédiées à différents aspects de la gestion de crise : Recensement, Santé et Action sociale, Sécurité, Finances, Hydraulique, et Logistique. Ces groupes de travail ont pour mission de mettre en œuvre des solutions pour évacuer les eaux de pluie des maisons et coordonner les interventions pour minimiser l’impact des inondations sur les populations. Le recensement des sinistrés a déjà commencé, et l’armée, la gendarmerie ainsi que des volontaires sont mobilisés pour apporter leur aide sur le terrain.
Madické Cissé a souligné que la situation s’est nettement améliorée, bien que certaines zones restent encore problématiques. L’armée, la gendarmerie, et la police sont sur place pour convoyer le matériel nécessaire aux interventions, notamment des pompes à haute capacité et des électropompes fournies par des structures bénévoles. Il a également mentionné que 320 motopompes seront déployées pour évacuer l’eau, en commençant par les environs de la Grande Mosquée.
Selon M. Cissé, les précipitations ont atteint 149 mm cette année à Touba, un niveau sans précédent depuis 30 ans. Il a rappelé que les infrastructures de drainage du pays ne sont pas dimensionnées pour gérer des précipitations supérieures à 00 mm, soulignant ainsi le caractère exceptionnel de la situation.
Avant même ces inondations, le gouvernement avait déjà mis en place un fonds de réponse pour anticiper de telles crises, mais la phase de déploiement nécessite d’abord une évaluation précise du nombre de ménages touchés.
L’État reste mobilisé pour apporter une solution rapide et efficace, avec la collaboration des autorités locales et des bonnes volontés, afin de soulager au plus vite les populations impactées par ces inondations.
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