Depuis plusieurs années, le secteur du gardiennage et de la sécurité privée est devenu l’un des plus grands secteurs pourvoyeurs d’emploi des jeunes. Une situation qui prend une ascension fulgurante. Sauf que ces agents, selon la confédération des syndicats autonomes du Sénégal (CSA) sont exploités par les entreprises et sociétés qui les engagent.
Dans un communiqué signé par le SG Elimane Diouf, la CSA dénonce : « des sociétés comme PHOENIX, doivent des arriérés de salaires à certains agents placés chez de mauvais clients. Des sociétés peinent à payer des droits aux agents licenciés c’est le cas de LOLI-FORCE. CAMUSAT, une entreprise fictive qui n’a pas d’agrément, recrute des agents de sécurité moyennant 40 000F - 50 000F par mois », informe M. Diouf.
Selon le texte qui prévient la multinationale, « c'est-à-dire que les pylônes de la Sonatel ne sont plus en sécurité de même que les travailleurs qui y sont employés. La multinationale Sonatel n’a pas le droit de regarder des collaborateurs mettre injustement au chômage des travailleurs qui ont fait plus de 15 ans de service. De même, la société CAMUSAT, avec ce qui pourrait être qualifiée d’une complicité active, ne respecte absolument pas la convention collective de la sécurité privée », fait-il savoir.
Pour régler la question de ces employés, le Syndicat Autonome des Gardiens et Agents de sécurité du Sénégal (SAGAS) et la CSA ont décidé d'un commun accord de mener le combat. « C’est toute une corporation qui a mal. Nous ne pouvons comprendre que l’État continue de laisser faire, malgré notre exigence d’un assainissement du secteur », laisse entendre la voix de la CSA.
C’est ainsi que, note le communiqué, le SAGAS et la CSA exigent le retrait des agréments aux GIE et sociétés qui ne respectent pas les droits des travailleurs surtout les contrats de travail, les bulletins de salaire, les barèmes de salaires, les primes de panier et de risque, etc… La CSA, toujours engagée aux côtés des travailleurs, décide avec les travailleurs du SAGAS d'aller rencontrer tous les travailleurs affiliés au SAGAS et voir comment régler en urgence certaines doléances et exiger de l’État le respect des conventions. La CSA exige la création d’une agence de régulation des marchés de la sécurité privée et l’assainissement du secteur », lit-on dans le communiqué de presse.
dakaractu
Dans un communiqué signé par le SG Elimane Diouf, la CSA dénonce : « des sociétés comme PHOENIX, doivent des arriérés de salaires à certains agents placés chez de mauvais clients. Des sociétés peinent à payer des droits aux agents licenciés c’est le cas de LOLI-FORCE. CAMUSAT, une entreprise fictive qui n’a pas d’agrément, recrute des agents de sécurité moyennant 40 000F - 50 000F par mois », informe M. Diouf.
Selon le texte qui prévient la multinationale, « c'est-à-dire que les pylônes de la Sonatel ne sont plus en sécurité de même que les travailleurs qui y sont employés. La multinationale Sonatel n’a pas le droit de regarder des collaborateurs mettre injustement au chômage des travailleurs qui ont fait plus de 15 ans de service. De même, la société CAMUSAT, avec ce qui pourrait être qualifiée d’une complicité active, ne respecte absolument pas la convention collective de la sécurité privée », fait-il savoir.
Pour régler la question de ces employés, le Syndicat Autonome des Gardiens et Agents de sécurité du Sénégal (SAGAS) et la CSA ont décidé d'un commun accord de mener le combat. « C’est toute une corporation qui a mal. Nous ne pouvons comprendre que l’État continue de laisser faire, malgré notre exigence d’un assainissement du secteur », laisse entendre la voix de la CSA.
C’est ainsi que, note le communiqué, le SAGAS et la CSA exigent le retrait des agréments aux GIE et sociétés qui ne respectent pas les droits des travailleurs surtout les contrats de travail, les bulletins de salaire, les barèmes de salaires, les primes de panier et de risque, etc… La CSA, toujours engagée aux côtés des travailleurs, décide avec les travailleurs du SAGAS d'aller rencontrer tous les travailleurs affiliés au SAGAS et voir comment régler en urgence certaines doléances et exiger de l’État le respect des conventions. La CSA exige la création d’une agence de régulation des marchés de la sécurité privée et l’assainissement du secteur », lit-on dans le communiqué de presse.
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