Même s’il reconnait que c’est une grosse perte pour le Parti, Ibou Mané, président de la Commission des finances de Rewmi en Franc,e pense qu’Idrissa Seck doit « reprendre les visites et le travail de terrain, massifier et organiser le Parti ».
« On ne peut pas parler de passivité de la part du président du Parti. Notre leader travaille. Il a fait des sorties. Il a même fait des propositions », défend-il, dans un entretien accordé au journal Le Témoin, dans sa parution du jour.
Toutefois, il y a des attentes. « Ce que tout le monde attend de lui, c’est de reprendre les visites, le travail de terrain, de massifier et d’organiser le Parti. Les gens veulent le rencontrer, lui exposer les maux dont souffrent leurs localités », pense Ibou Mané.
Il pense que « quand on a de l’affection pour quelqu’un, on veut le rencontrer de temps en temps. Surtout que sa seule présence aux côtés des responsables leur donne plus de crédit ».
Ibou Mané estime même ces démissions, « inquiètent ». « Nous sommes à quelques mois de l’élection présidentielle. Le Parti doit consentir des sacrifices astronomiques en moyens financiers, matériels et même humains pour pouvoir espérer les remporter », a-t-il noté. Espérant certainement que le président du Conseil départemental entendra ses conseils.
La rédaction de leral.net
« On ne peut pas parler de passivité de la part du président du Parti. Notre leader travaille. Il a fait des sorties. Il a même fait des propositions », défend-il, dans un entretien accordé au journal Le Témoin, dans sa parution du jour.
Toutefois, il y a des attentes. « Ce que tout le monde attend de lui, c’est de reprendre les visites, le travail de terrain, de massifier et d’organiser le Parti. Les gens veulent le rencontrer, lui exposer les maux dont souffrent leurs localités », pense Ibou Mané.
Il pense que « quand on a de l’affection pour quelqu’un, on veut le rencontrer de temps en temps. Surtout que sa seule présence aux côtés des responsables leur donne plus de crédit ».
Ibou Mané estime même ces démissions, « inquiètent ». « Nous sommes à quelques mois de l’élection présidentielle. Le Parti doit consentir des sacrifices astronomiques en moyens financiers, matériels et même humains pour pouvoir espérer les remporter », a-t-il noté. Espérant certainement que le président du Conseil départemental entendra ses conseils.
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