ans quelques jours, Sidy Mouhamed Boughaleb saura s’il va comparaître devant la Chambre criminelle ou pas. Après son mémoire de pourvoi déposé devant la haute juridiction, son dossier est maintenant enrôlé. La Chambre criminelle de la haute juridiction va ainsi statuer sur cette affaire le 19 mai prochain.
Visé par l’ordonnance du doyen des juges d’instruction qui avait trouvé des charges suffisantes à son encontre dans le meurtre de l’étudiant Bassirou Faye, Sidy Mouhamed Boughaleb s’insurge contre cette ordonnance. Il crie son innocence et soutient que le doyen a manqué de poser certains actes dans son instruction qui pourraient le disculper. En effet, sur les moyens évoqués dans son mémoire, Sidy Mouhamed Boughaleb a parlé d’insuffisance de charges dans l’instruction du magistrat instructeur. Il a également parlé de la violation des articles 171 et 173 du code de procédure pénale Sénégalais.
Il faut noter par ailleurs, que le Parquet non plus n’est pas satisfait par l’ordonnance du juge d’instruction. Car, il estime que l’agent de police Tombong Oualy devait être visé par l’ordonnance.
En août 2014, l’étudiant Bassirou Faye se faisait tué par une balle policière lors d’une manifestation estudiantine. Depuis lors les étudiants et la famille de la victime attendent de savoir qui est le véritable meurtrier.
Visé par l’ordonnance du doyen des juges d’instruction qui avait trouvé des charges suffisantes à son encontre dans le meurtre de l’étudiant Bassirou Faye, Sidy Mouhamed Boughaleb s’insurge contre cette ordonnance. Il crie son innocence et soutient que le doyen a manqué de poser certains actes dans son instruction qui pourraient le disculper. En effet, sur les moyens évoqués dans son mémoire, Sidy Mouhamed Boughaleb a parlé d’insuffisance de charges dans l’instruction du magistrat instructeur. Il a également parlé de la violation des articles 171 et 173 du code de procédure pénale Sénégalais.
Il faut noter par ailleurs, que le Parquet non plus n’est pas satisfait par l’ordonnance du juge d’instruction. Car, il estime que l’agent de police Tombong Oualy devait être visé par l’ordonnance.
En août 2014, l’étudiant Bassirou Faye se faisait tué par une balle policière lors d’une manifestation estudiantine. Depuis lors les étudiants et la famille de la victime attendent de savoir qui est le véritable meurtrier.