Le leader des «réformateurs» au sein du Parti démocratique sénégalais (Pds) est prêt à tout pour ne pas mourir politiquement et ne compte nullement laisser Abdoulaye Wade lui choisir un successeur à la tête du Pds. En effet, invité à se prononcer sur divers sujets dont les propos prêtés à Karim Wade, notamment la déception de celui-ci quant à son attitude à l’Assemblée nationale, comme sur le plan B du Pds en cas de forclusion de Karim Wade et même sur la succession de Me Wade à la tête du Pds, Modou Diagne Fada a livré sans fioritures ses « quatre vérités ».
Les propos prêtés à Karim Wade, notamment sa déception quant à l’attitude de son camarade de parti et président du Groupe parlementaire libéral, sur les incidents au niveau de l’Assemblée nationale, ne semblent aucunement inquiéter le mis en cause. Modou Diagne Fada n’a pas voulu croire en ces allégations prêtées à son «frère» de parti. Toutefois, invité de l’émission Grand Jury de la RFM reprise par Sud quotidien, le président du groupe parlementaire des «Libéraux et démocrates» s’est voulu clair sur la question. «Si je dois décevoir Karim Wade, parce que j’ai refusé de pendre la corde bien nouée qui m’avait été tendue pour que je me pende, tant pis». Et le leader politique de Darou Mouthy s’affirmer : «je me suis battu pour ma survie politique».
Les propos prêtés à Karim Wade, notamment sa déception quant à l’attitude de son camarade de parti et président du Groupe parlementaire libéral, sur les incidents au niveau de l’Assemblée nationale, ne semblent aucunement inquiéter le mis en cause. Modou Diagne Fada n’a pas voulu croire en ces allégations prêtées à son «frère» de parti. Toutefois, invité de l’émission Grand Jury de la RFM reprise par Sud quotidien, le président du groupe parlementaire des «Libéraux et démocrates» s’est voulu clair sur la question. «Si je dois décevoir Karim Wade, parce que j’ai refusé de pendre la corde bien nouée qui m’avait été tendue pour que je me pende, tant pis». Et le leader politique de Darou Mouthy s’affirmer : «je me suis battu pour ma survie politique».