Le ministre, porte-parole du gouvernement Seydou Guèye ne veut pas croire une seule seconde à la fraude dont parle l’opposition.
Invité à l’émission point de vue dimanche sur la RTS, il a prévenu qu’il n’en n’est rien et que l’opposition veut juste mettre de la pression sur le pouvoir. Une démarche qui ne marchera pas selon le porte-parole de l’APR qui confie qu’il est quasi impossible de frauder au Sénégal en matière électorale. "Ça me fait un peu rire parce que c’est un modèle éculé. L’opposition de l’époque qui est aujourd’hui au pouvoir a beaucoup joué sur la stratégie de la suspicion en matière électorale. Alors que la réalité n’est d’autre que nous avons l’un des meilleurs systèmes électoraux. Puisqu’à partir du système de 92, nous avons pu contenir un dispositif qui engage l’Etat, les acteurs politiques, la société civile, en définissant des responsabilités très claires et en donnant des pouvoirs à des institutions comme la CENA, les partis politiques… beaucoup de pays nous envient cela. Et aujourd’hui ce qui doit être une religion pour tout le monde, ce qu’en matière électorale, la fraude est quasi impossible. Si nous avons des élections à contestation marginale, c’est parce qu’il y a de la qualité, dans la surveillance du processus et la fiabilité de celui-ci. Nous sommes dans un processus de révision ordinaire des listes électorales… La stratégie de la suspicion en matière électorale pour mettre la pression sur le pouvoir ne marchera plus de mon point de vue. Puisque la technologie est passée par là et elle a réglé les problèmes de fraudes et de sources de fraudes…"
Ferloo
Invité à l’émission point de vue dimanche sur la RTS, il a prévenu qu’il n’en n’est rien et que l’opposition veut juste mettre de la pression sur le pouvoir. Une démarche qui ne marchera pas selon le porte-parole de l’APR qui confie qu’il est quasi impossible de frauder au Sénégal en matière électorale. "Ça me fait un peu rire parce que c’est un modèle éculé. L’opposition de l’époque qui est aujourd’hui au pouvoir a beaucoup joué sur la stratégie de la suspicion en matière électorale. Alors que la réalité n’est d’autre que nous avons l’un des meilleurs systèmes électoraux. Puisqu’à partir du système de 92, nous avons pu contenir un dispositif qui engage l’Etat, les acteurs politiques, la société civile, en définissant des responsabilités très claires et en donnant des pouvoirs à des institutions comme la CENA, les partis politiques… beaucoup de pays nous envient cela. Et aujourd’hui ce qui doit être une religion pour tout le monde, ce qu’en matière électorale, la fraude est quasi impossible. Si nous avons des élections à contestation marginale, c’est parce qu’il y a de la qualité, dans la surveillance du processus et la fiabilité de celui-ci. Nous sommes dans un processus de révision ordinaire des listes électorales… La stratégie de la suspicion en matière électorale pour mettre la pression sur le pouvoir ne marchera plus de mon point de vue. Puisque la technologie est passée par là et elle a réglé les problèmes de fraudes et de sources de fraudes…"
Ferloo