Il reste droit dans ses bottes et donne rendez-vous au Palais de justice, lors du procès des présumés meurtriers de Feu son camarade Bassirou Faye, abattu, froidement, le 14 août 2014, au Campus social de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, lors de violents affrontements entre forces de l’ordre et étudiants, autour du non-paiement des bourses.
Refusant de varier sur ses bases, Sette Diagne, ami et témoin oculaire lors du drame, accroché par Actusen.com, affirme : «nous prions pour le repos de l’âme de Bassirou Faye et exigeons la tenue du procès à la date prévue».
Invité par Actusen.com à revenir sur le film des évènements qui ont coûté la vie à Feu son camarade,Sette Diagne oppose une résistance-tout-terrain. Motif invoqué : l’affaire Bassirou Faye est toujours pendante devant la Justice.
Pour autant, Sette Diagne, dont le témoignage devrait être déterminant pour l’issue du procès, tient à déclarer à qui veut l’entendre : «en tant que talibé de Baye Niass, mon devoir est de toujours dire la vérité, rien que la vérité”.
A cet effet, souligne-t-il : “lors du procès, je dirai tout ce que j’ai vu, le 14 août 2014 (Ndlr : jour du meurtre)». Pour ceux qui ne s’en souviennent pas, Sette Diagne, durant les premiers jours ayant suivi le meurtre de l’étudiant, clamait urbi et orbi qu’il saurait reconnaître le policier, qui a appuyé sur la gâchette et ôté la vie à son ami. D’où tout l’intérêt que devrait avoir son témoignage, lors de ce procès.
Refusant de varier sur ses bases, Sette Diagne, ami et témoin oculaire lors du drame, accroché par Actusen.com, affirme : «nous prions pour le repos de l’âme de Bassirou Faye et exigeons la tenue du procès à la date prévue».
Invité par Actusen.com à revenir sur le film des évènements qui ont coûté la vie à Feu son camarade,Sette Diagne oppose une résistance-tout-terrain. Motif invoqué : l’affaire Bassirou Faye est toujours pendante devant la Justice.
Pour autant, Sette Diagne, dont le témoignage devrait être déterminant pour l’issue du procès, tient à déclarer à qui veut l’entendre : «en tant que talibé de Baye Niass, mon devoir est de toujours dire la vérité, rien que la vérité”.
A cet effet, souligne-t-il : “lors du procès, je dirai tout ce que j’ai vu, le 14 août 2014 (Ndlr : jour du meurtre)». Pour ceux qui ne s’en souviennent pas, Sette Diagne, durant les premiers jours ayant suivi le meurtre de l’étudiant, clamait urbi et orbi qu’il saurait reconnaître le policier, qui a appuyé sur la gâchette et ôté la vie à son ami. D’où tout l’intérêt que devrait avoir son témoignage, lors de ce procès.