Le Sénégal s’est fixé comme objectif d’avoir un budget de 7 000 milliards pour l’année 2024. A propos de la gestion de cette manne financière, le ministre des finances et du budget révèle que les grandes orientations « sont centrées principalement autour du renforcement de la résilience des finances publiques ».
Dans un grand entretien accordé au journal économique, LeJecos, dans son édition du mois d’octobre 2023, Moustapha Ba, précise que cet effort s’articulera d’une part autour de "la mise en œuvre d’une stratégie de consolidation budgétaire et la poursuite des efforts entamés en vue d’améliorer l’efficacité des dépenses de l’Etat et, d’autre part, à travers la transparence dans la gestion des finances publiques et la satisfaction de la demande sociale ».
Ainsi, durant l’année 2024, le gouvernement va travailler à ‘’préserver la viabilité des finances publiques’’, mais aussi à ‘’améliorer la notation souveraine de la dette publique’’, sans oublier la nécessité de se donner des ‘’marges de manœuvre budgétaire’’, réduites par les multiples crises. L’objectif étant de ramener le déficit budgétaire à 3% du PIB en 2025.
Sur le plan sectoriel, détaille Moustapha Ba, cela veut dire que les efforts ‘’seront davantage concentrés autour des services sociaux de base, de la souveraineté alimentaire, du soutien aux couches vulnérables et aux initiatives locales d’une part, de l’équité territoriale et de la promotion économique, ainsi que de la paix et de la sécurité d’autre part’’.
seneweb
Dans un grand entretien accordé au journal économique, LeJecos, dans son édition du mois d’octobre 2023, Moustapha Ba, précise que cet effort s’articulera d’une part autour de "la mise en œuvre d’une stratégie de consolidation budgétaire et la poursuite des efforts entamés en vue d’améliorer l’efficacité des dépenses de l’Etat et, d’autre part, à travers la transparence dans la gestion des finances publiques et la satisfaction de la demande sociale ».
Ainsi, durant l’année 2024, le gouvernement va travailler à ‘’préserver la viabilité des finances publiques’’, mais aussi à ‘’améliorer la notation souveraine de la dette publique’’, sans oublier la nécessité de se donner des ‘’marges de manœuvre budgétaire’’, réduites par les multiples crises. L’objectif étant de ramener le déficit budgétaire à 3% du PIB en 2025.
Sur le plan sectoriel, détaille Moustapha Ba, cela veut dire que les efforts ‘’seront davantage concentrés autour des services sociaux de base, de la souveraineté alimentaire, du soutien aux couches vulnérables et aux initiatives locales d’une part, de l’équité territoriale et de la promotion économique, ainsi que de la paix et de la sécurité d’autre part’’.
seneweb