Selon l'institut géologique américain (USGS), l’épicentre du séisme est situé au nord de la Tanzanie, à 23 km de la ville de Nsunga, dans le district de Bukoba, non loin de la frontière ougandaise. C’est là que des bâtiments se sont écroulés et que des victimes ont été retrouvées.
« Quand on approche de 6 sur l'échelle de Richter, il y a forcément des dégâts à l'épicentre du séisme, mais leur ampleur dépend de la qualité des constructions », indique Georges Mavonga, directeur du département de sismologie de Goma, en RDC.
Sur les réseaux sociaux, des images de maisons dont les murs en briques n'ont pas résisté, de toits effondrés et de routes fissurées, ont été diffusées.
Un témoin joint à Bukoba évoque des scènes de panique : « Les gens ne comprenaient pas tous ce qu’il se passait, ils couraient dans tous les sens ». « C’était une très grosse secousse, je ne comprends qu'on n'ait pas été avertis, que les sismologues n'aient rien vu », regrette-t-il.
La secousse a aussi été ressentie au Rwanda, au Burundi, en Ouganda et au Kenya, selon l'Institut géologique américain qui a recensé plusieurs séismes dans cette même zone au cours de l'année passée, mais d'une magnitude généralement plus faible.
« Quand on approche de 6 sur l'échelle de Richter, il y a forcément des dégâts à l'épicentre du séisme, mais leur ampleur dépend de la qualité des constructions », indique Georges Mavonga, directeur du département de sismologie de Goma, en RDC.
Sur les réseaux sociaux, des images de maisons dont les murs en briques n'ont pas résisté, de toits effondrés et de routes fissurées, ont été diffusées.
Un témoin joint à Bukoba évoque des scènes de panique : « Les gens ne comprenaient pas tous ce qu’il se passait, ils couraient dans tous les sens ». « C’était une très grosse secousse, je ne comprends qu'on n'ait pas été avertis, que les sismologues n'aient rien vu », regrette-t-il.
La secousse a aussi été ressentie au Rwanda, au Burundi, en Ouganda et au Kenya, selon l'Institut géologique américain qui a recensé plusieurs séismes dans cette même zone au cours de l'année passée, mais d'une magnitude généralement plus faible.